OK. "Nicolas Sarkozy écope de la première condamnation à la prison ferme pour un chef d'Etat français."
- l’année dernière
Sarkozy condamné à de la prison ferme
Le mercredi 17 mai 2023, Nicolas Sarkozy a été condamné par la cour d'appel à trois ans de prison, dont un an à exécuter sous bracelet électronique, pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire des écoutes. Cette condamnation est inédite pour un ancien chef d'État français qui est ainsi le premier à recevoir de la prison ferme. Il est également inéligible pour les trois prochaines années. Ses deux coprévenus, son avocat Thierry Herzog et l'ancien magistrat Gilbert Azibert, ont également été condamnés à la même peine que Nicolas Sarkozy. Thierry Herzog est en outre interdit de pratique pendant trois ans.
Nicolas Sarkozy conteste les accusations de corruption
Les trois prévenus ont toujours nié toutes les accusations de corruption portées contre eux. Nicolas Sarkozy a dénoncé avec la plus grande force les accusations qui pèsent contre lui et a affirmé qu'il n'a jamais corrompu personne. Le parquet général avait déjà requis trois ans de prison avec sursis à l'encontre des trois prévenus le 13 décembre dernier.
Une troisième affaire en attente
À l'automne prochain, Nicolas Sarkozy sera sous le coup d'un troisième procès retentissant dans l'affaire "Bygmalion". Cette condamnation intervient par conséquent avant la prochaine audience.
Une condamnation inédite pour un ancien chef d'État
La condamnation de Nicolas Sarkozy à de la prison ferme pour corruption et trafic d'influence est inédite pour un ancien chef d'État français. L'homme politique de 68 ans doit purger un an sous bracelet électronique et est inéligible pendant trois ans. Ses deux coprévenus ont également été condamnés à la même peine que lui et Thierry Herzog ne peut plus exercer son métier pendant trois ans.
Les prévenus nient de manière véhémente les accusations
Nicolas Sarkozy et ses deux coprévenus ont toujours nié les accusations de corruption qui pèsent sur eux et ont contesté la décision de la cour d'appel. En décembre, le parquet général avait déjà requiert trois ans de prison avec sursis à leur encontre.
Un troisième procès en vue
Nicolas Sarkozy sera jugé une troisième fois en appel dans l'affaire "Bygmalion" mais cette fois-ci, il connaîtra sa condamnation sans connaître le verdict de l'appel dans l'affaire des écoutes.
Le mercredi 17 mai 2023, Nicolas Sarkozy a été condamné par la cour d'appel à trois ans de prison, dont un an à exécuter sous bracelet électronique, pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire des écoutes. Cette condamnation est inédite pour un ancien chef d'État français qui est ainsi le premier à recevoir de la prison ferme. Il est également inéligible pour les trois prochaines années. Ses deux coprévenus, son avocat Thierry Herzog et l'ancien magistrat Gilbert Azibert, ont également été condamnés à la même peine que Nicolas Sarkozy. Thierry Herzog est en outre interdit de pratique pendant trois ans.
Nicolas Sarkozy conteste les accusations de corruption
Les trois prévenus ont toujours nié toutes les accusations de corruption portées contre eux. Nicolas Sarkozy a dénoncé avec la plus grande force les accusations qui pèsent contre lui et a affirmé qu'il n'a jamais corrompu personne. Le parquet général avait déjà requis trois ans de prison avec sursis à l'encontre des trois prévenus le 13 décembre dernier.
Une troisième affaire en attente
À l'automne prochain, Nicolas Sarkozy sera sous le coup d'un troisième procès retentissant dans l'affaire "Bygmalion". Cette condamnation intervient par conséquent avant la prochaine audience.
Une condamnation inédite pour un ancien chef d'État
La condamnation de Nicolas Sarkozy à de la prison ferme pour corruption et trafic d'influence est inédite pour un ancien chef d'État français. L'homme politique de 68 ans doit purger un an sous bracelet électronique et est inéligible pendant trois ans. Ses deux coprévenus ont également été condamnés à la même peine que lui et Thierry Herzog ne peut plus exercer son métier pendant trois ans.
Les prévenus nient de manière véhémente les accusations
Nicolas Sarkozy et ses deux coprévenus ont toujours nié les accusations de corruption qui pèsent sur eux et ont contesté la décision de la cour d'appel. En décembre, le parquet général avait déjà requiert trois ans de prison avec sursis à leur encontre.
Un troisième procès en vue
Nicolas Sarkozy sera jugé une troisième fois en appel dans l'affaire "Bygmalion" mais cette fois-ci, il connaîtra sa condamnation sans connaître le verdict de l'appel dans l'affaire des écoutes.