DJ Hamida admis à l'hôpital après avoir inhalé des ballons hilarants !
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Hospitalisé à cause des ballons hilarants

DJ Hamida, célèbre artiste franco-marocain de 36 ans, est victime en août 2019 du protoxyde d’azote, un gaz détourné de son usage culinaire pour un usage récréatif, appelé communément « ballons hilarants » inhalé dans des ballons de baudruche. Ce gaz provoque l’hilarité chez son consommateur, mais comporte également de nombreux risques pour les jeunes, comme le rappelle l’artiste lors de l’émission « Parcours de vie » sur MCE et Demain TV.

DJ Hamida alerte sur les dangers de cette drogue

Suite à cette mésaventure, DJ Hamida prend conscience du caractère nocif de ce produit et alerte aujourd'hui contre les dangers de cette drogue dont le phénomène prend de l’ampleur en France. Il constate que le phénomène des ballons hilarants vient d’arriver en France, où il est devenu un effet de mode et que cela est devenu extrêmement dangereux et a engendré de nombreux accidents chez les jeunes.

Le protoxyde d’azote : une drogue qui fait des ravages chez les jeunes

En vente dans le commerce, sous forme de cartouches de siphon pour usage culinaire notamment, le protoxyde d’azote est détourné pour un usage récréatif. Le gaz hilarant inhalé dans des ballons de baudruche provoque l’hilarité chez son usager, mais peut entraîner des effets nocifs immédiats, à savoir des nausées et des malaises, et également des problèmes neurologiques et des arrêts cardio-respiratoires.

Le témoignage de DJ Hamida sur les risques liés aux ballons hilarants

DJ Hamida raconte avoir consommé avec des amis plus de 2000-3000 cartouches de gaz hilarant lors d’une soirée en 2019 chez lui au Maroc. Le lendemain, il se sent mal au point de finir à l’hôpital sous l’effet de la gueule de bois. Le neurologue lui explique que le gaz hilarant en question l’a vidé de la vitamine B12 présente dans son corps. Le DJ a frôlé le pire mais a été sauvé grâce à une injection de vitamine B12 en intraveineuse. Il confirme que le médecin lui a d’ailleurs dit : ‘J’ai eu le même problème avec une personne d’Avignon qui, lui, avait consommé 100 fois moins que toi je crois et il a perdu l’usage de ses jambes’.

Une réglementation pour limiter les risques

Depuis 2021, les pouvoirs publics français ont interdit la vente de ce produit aux mineurs, mais cela n’est pas suffisant pour empêcher la consommation de cette drogue qui continue actuellement de faire de nombreuses victimes c
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