Tchernobyl : comment les chiens errants ont muté génétiquement
  • l’année dernière
Trente-sept ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, les séquelles persistent sur de nombreuses espèces animales et végétales. Comme le rapporte La Dépêche, des scientifiques ont démontré que les animaux errants qui vivent encore à proximité de la zone la plus exposée aux radiations nucléaires après l'explosion de la centrale le 26 avril 1986 possèdent une « signature génomique unique ». Dans leur étude, les experts ont prélevé, entre 2017 et 2018, 301 échantillons sanguins de chiens errants dans trois zones spécifiques : l'une proche de la centrale, une autre à 15 kilomètres, dans la ville de Tchernobyl, et la troisième à 45 kilomètres, dans le village de Slavoutytch. Publiés au début du mois de mars 2023, leurs résultats montrent que les cas les plus proches de la centrale possèdent un taux de césium-137 (un radioélément toxique) deux cents fois supérieur à ceux qui vivent dans la ville de Tchernobyl.

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