Drame de Strépy : “le conducteur se filmait et roulait à plus de 150 km/h au moment de l'impact”
- l’année dernière
#DrameStrépy #conducteurfilmait
https://gotopnews.com/post/2480906
Lors cette conférence presse, le parquet notamment confirmé que le conducteur, en l'occurrence Paolo Falzone, "se filmait au moment des faits et roulait à plus 150 kmh ce qui a été confirmé par l'intéressé", déclaré Damien Verheyen, substitut du procureur la République. "Il a légèrement dépassé le taux d'alcoolémie autorisé mais, contrairement à ce qui a circulé dans la presse depuis le drame, aucune capsule de protoxyde d'azote n'a été retrouvée dans l'habitacle du véhicule. Outre les nombreuses auditions réalisées, une expertise de conduite, une analyse approfondie téléphone portable conducteur, tests de luminescence des phares véhicule ont été réalisés ainsi que l'extraction et l'analyse composants électroniques véhicule par le constructeur . « Cette dernière analyse est toujours en cours et vise à comparer les informations recueillies dans cadre différentes missions exercées afin de déterminer plus précisément possible déroulement des événements, à savoir la trajectoire du véhicule, la vitesse, comportement conducteur, accélérations, décélérations, freinages… » Une reconstruction extraordinaire La reconstitution d'un moment particulier du drame a eu lieu ce jeudi en présence de Paolo Falzone et Antonio Falzone, son passager et avec le véhicule accidenté. Ce moment précis est celui où Fred D'Andrea a été heurté par le véhicule et les événements qui ont conduit à sa mort. Un figurant portait même un costume gille par souci de véracité. « Les résultats et conclusions de cette reconstitution sont couverts par le secret de l'instruction. Son but était visualiser faits tels que décrits par accusés, victimes et témoins dans le cadre de leurs auditions et, le cas échéant, pouvoir comparer versions et constater leur conformité ou contradiction avec éléments matériels. On sait les versions des deux protagonistes principaux diffèrent notamment sur fait que le passager dormait au moment du choc, ce conducteur nie. Concernant les suites judiciaires, il est trop tôt pour que le parquet s'engage sur un calendrier ou un calendrier. "La qualification des faits reste provisoire à ce stade et est susceptible d'évoluer à toutes les étapes de la procédure", conclut Damien Verheyen.
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Lors cette conférence presse, le parquet notamment confirmé que le conducteur, en l'occurrence Paolo Falzone, "se filmait au moment des faits et roulait à plus 150 kmh ce qui a été confirmé par l'intéressé", déclaré Damien Verheyen, substitut du procureur la République. "Il a légèrement dépassé le taux d'alcoolémie autorisé mais, contrairement à ce qui a circulé dans la presse depuis le drame, aucune capsule de protoxyde d'azote n'a été retrouvée dans l'habitacle du véhicule. Outre les nombreuses auditions réalisées, une expertise de conduite, une analyse approfondie téléphone portable conducteur, tests de luminescence des phares véhicule ont été réalisés ainsi que l'extraction et l'analyse composants électroniques véhicule par le constructeur . « Cette dernière analyse est toujours en cours et vise à comparer les informations recueillies dans cadre différentes missions exercées afin de déterminer plus précisément possible déroulement des événements, à savoir la trajectoire du véhicule, la vitesse, comportement conducteur, accélérations, décélérations, freinages… » Une reconstruction extraordinaire La reconstitution d'un moment particulier du drame a eu lieu ce jeudi en présence de Paolo Falzone et Antonio Falzone, son passager et avec le véhicule accidenté. Ce moment précis est celui où Fred D'Andrea a été heurté par le véhicule et les événements qui ont conduit à sa mort. Un figurant portait même un costume gille par souci de véracité. « Les résultats et conclusions de cette reconstitution sont couverts par le secret de l'instruction. Son but était visualiser faits tels que décrits par accusés, victimes et témoins dans le cadre de leurs auditions et, le cas échéant, pouvoir comparer versions et constater leur conformité ou contradiction avec éléments matériels. On sait les versions des deux protagonistes principaux diffèrent notamment sur fait que le passager dormait au moment du choc, ce conducteur nie. Concernant les suites judiciaires, il est trop tôt pour que le parquet s'engage sur un calendrier ou un calendrier. "La qualification des faits reste provisoire à ce stade et est susceptible d'évoluer à toutes les étapes de la procédure", conclut Damien Verheyen.