FAQ - Je suis la victime collatérale d'un féminicide
  • il y a 11 mois
Chaque année, 400 000 mineurs assistent à des violences conjugales dans leur foyer. Depuis le 1er février, ils sont -enfin- reconnus automatiquement en tant que victimes et non simples témoins.

Mais au-delà de cette reconnaissance juridique, il manque encore des outils pour les accompagner, notamment sur le plan psychologique.

Comment grandit-on, se construit-on quand on a vécu avec la violence d’un de ses parents ?

Quand on a dû prendre la défense de l’un vis-à-vis de l’autre ?

Comment protéger ces enfants et ados ?

Que peut-on faire pour les aider en tant que proches ?

Et comment éviter qu’ils ne se mettent dans un chemin de répétition une fois devenus adultes ?
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