Lait artificiel pour les bébés: promet peu de soutien par la science
- l’année dernière
#Laitartificiel #bébés #promessespeu
https://gotopnews.com/post/1676356
Selon une étude publiée jeudi, La publication de cette étude se produit une semaine après une série d'articles publiés dans la revue scientifique The Lancet qui appelle à durcir les réglementations imposées aux préparations industrielles des nourrissons.eux ne pas allaiter. Les autorités sanitaires - y compris l'Organisation mondiale la santé - recommandent de favoriser l'allaitement maternel, en raison ses avantages pour la santé des bébés. Daniel Munblit, conférencier honoraire à l'Imperial College à Londres et co-auteur de cette nouvelle étude, publié dans BMJ, se défend contre toute "croisade" de chercheurs contre les laits artificiels, qui doivent rester une option pour les mères qui ne peuvent pas souhaiter allaiter. "Mais nous sommes fortement opposés un marketing inapproprié sur les préparations nourrissons, lorsqu'il fournit des allégations trompeuses non étayées par preuves solides", a déclaré Daniel Munblit à l'AFP, ce qui est favorable l'emballage neutre. Le scientifique et une équipe internationale chercheurs ont examiné arguments de santé mis en évidence pour 608 produits sur les sites des fabricants préparation des nourrissons dans quinze pays, dont États-Unis, l'Inde, le Royaume-Uni et le Nigéria. Les arguments de vente mettent en évidence les avantages développement cerveau bébé, le renforcement système immunitaire et la croissance. Mais la moitié des produits ciblés n'ont pas lié les avantages pour la santé revendiqués à un ingrédient spécifique, selon l'étude publiée jeudi. Et les trois quarts de ces produits ne mentionnent aucune référence scientifique atteignant ces avantages supposés. Seuls 14% des produits ont fait l'objet d'essais cliniques enregistrés sur l'homme. Hombalement, 90% ces essais ont présenté un risque élevé de biais, comme les données manquantes ou les découvertes ne soutenant pas vraiment l'argument vente avancé, selon l'étude. Et surtout, pour 90% des essais cliniques, les auteurs ont reçu un financement ou avaient des liens avec l'industrie, a-t-il ajouté.
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Selon une étude publiée jeudi, La publication de cette étude se produit une semaine après une série d'articles publiés dans la revue scientifique The Lancet qui appelle à durcir les réglementations imposées aux préparations industrielles des nourrissons.eux ne pas allaiter. Les autorités sanitaires - y compris l'Organisation mondiale la santé - recommandent de favoriser l'allaitement maternel, en raison ses avantages pour la santé des bébés. Daniel Munblit, conférencier honoraire à l'Imperial College à Londres et co-auteur de cette nouvelle étude, publié dans BMJ, se défend contre toute "croisade" de chercheurs contre les laits artificiels, qui doivent rester une option pour les mères qui ne peuvent pas souhaiter allaiter. "Mais nous sommes fortement opposés un marketing inapproprié sur les préparations nourrissons, lorsqu'il fournit des allégations trompeuses non étayées par preuves solides", a déclaré Daniel Munblit à l'AFP, ce qui est favorable l'emballage neutre. Le scientifique et une équipe internationale chercheurs ont examiné arguments de santé mis en évidence pour 608 produits sur les sites des fabricants préparation des nourrissons dans quinze pays, dont États-Unis, l'Inde, le Royaume-Uni et le Nigéria. Les arguments de vente mettent en évidence les avantages développement cerveau bébé, le renforcement système immunitaire et la croissance. Mais la moitié des produits ciblés n'ont pas lié les avantages pour la santé revendiqués à un ingrédient spécifique, selon l'étude publiée jeudi. Et les trois quarts de ces produits ne mentionnent aucune référence scientifique atteignant ces avantages supposés. Seuls 14% des produits ont fait l'objet d'essais cliniques enregistrés sur l'homme. Hombalement, 90% ces essais ont présenté un risque élevé de biais, comme les données manquantes ou les découvertes ne soutenant pas vraiment l'argument vente avancé, selon l'étude. Et surtout, pour 90% des essais cliniques, les auteurs ont reçu un financement ou avaient des liens avec l'industrie, a-t-il ajouté.