Trois gagnants partagent le Grand Prix suisse de l'art 2023
- l’année dernière
#Troislauréats #partagentGrand #Prixsuisse
https://gotopnews.com/post/1669419
Le Grand Prix suisse de l'art / prix Meret Oppenheim 2023 revient Uriel Orlow, à l'initiative du groupe Parity et Stanislaus von Moos, a annoncé mercredi le Bureau fédéral de la culture . La présentation des distinctions aura lieu le 12 juin àBâle. L'œuvre "engagée et multidisciplinaire" par Uriel Orlow , née à Zurich en 1973, "résonne avec des débats contemporains", écrit l'OFC. Depuis plus de vingt ans, il a élargi le concept artistique et utilise leLes médias les plus diversifiés pour promouvoir l'examen d'autres perspectives culturelles. EVENT des explorations, Uriel Orlow s'inspire d'autres disciplines telles que l'histoire, l'archéologie, la géologie ou la botanique. Colonialisme, question place mémoire, justice sociale et l'écologie sont des thèmes fondamentaux son travail.Uriel Orlow a notamment été le gagnant d'un prix d'art suisse à trois reprises. Initiative d'égalité Initiative née en 2014 au Département d'architecture Federal Polytechnic School of Zurich à l'instigation d'un groupe d'architectes, le collectif du groupe de parité s'est depuis établi à l'intérieur l'institution comme "un réseau qui favorise la parité, diversité et les critiques institutionnelles". Chaque 8 mars, à l'occasion Journée internationale de la femme, le groupe parité organise le symposium «discussions sur parité», avec les parties prenantes locales et internationales. De ce symposium est né en particulier le "manifeste des 9 points de parité", neuf mesures que l'institution a principalement mis en œuvre. Générateur de ponts L'historien de l'art et expert dans l'architecture de Zurich Stanislaus von Moos. [Schweizerkulturpreise] Historien de l'art expert architecture né en 1940 établi à Zurich, Stanislaus von Moos a établi tant que chercheur, conservateur enseignant, ponts entre l'architecture l'art, entre la part le critique. Parmi ses écrits les plus reconnus, il a publié en 1968 la première monographie critique sur le travail de Le Corbusier après la mort de l'architecte, une œuvre qui est rapidement devenue une analyse essentielle du modernisme architectural. En 1971, il a fondé et dirigé le magazine Archithese. Les prix seront décernés aux trois vainqueurs dans le cadre de l'exposition Swiss Art Awards à Bâle.
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Le Grand Prix suisse de l'art / prix Meret Oppenheim 2023 revient Uriel Orlow, à l'initiative du groupe Parity et Stanislaus von Moos, a annoncé mercredi le Bureau fédéral de la culture . La présentation des distinctions aura lieu le 12 juin àBâle. L'œuvre "engagée et multidisciplinaire" par Uriel Orlow , née à Zurich en 1973, "résonne avec des débats contemporains", écrit l'OFC. Depuis plus de vingt ans, il a élargi le concept artistique et utilise leLes médias les plus diversifiés pour promouvoir l'examen d'autres perspectives culturelles. EVENT des explorations, Uriel Orlow s'inspire d'autres disciplines telles que l'histoire, l'archéologie, la géologie ou la botanique. Colonialisme, question place mémoire, justice sociale et l'écologie sont des thèmes fondamentaux son travail.Uriel Orlow a notamment été le gagnant d'un prix d'art suisse à trois reprises. Initiative d'égalité Initiative née en 2014 au Département d'architecture Federal Polytechnic School of Zurich à l'instigation d'un groupe d'architectes, le collectif du groupe de parité s'est depuis établi à l'intérieur l'institution comme "un réseau qui favorise la parité, diversité et les critiques institutionnelles". Chaque 8 mars, à l'occasion Journée internationale de la femme, le groupe parité organise le symposium «discussions sur parité», avec les parties prenantes locales et internationales. De ce symposium est né en particulier le "manifeste des 9 points de parité", neuf mesures que l'institution a principalement mis en œuvre. Générateur de ponts L'historien de l'art et expert dans l'architecture de Zurich Stanislaus von Moos. [Schweizerkulturpreise] Historien de l'art expert architecture né en 1940 établi à Zurich, Stanislaus von Moos a établi tant que chercheur, conservateur enseignant, ponts entre l'architecture l'art, entre la part le critique. Parmi ses écrits les plus reconnus, il a publié en 1968 la première monographie critique sur le travail de Le Corbusier après la mort de l'architecte, une œuvre qui est rapidement devenue une analyse essentielle du modernisme architectural. En 1971, il a fondé et dirigé le magazine Archithese. Les prix seront décernés aux trois vainqueurs dans le cadre de l'exposition Swiss Art Awards à Bâle.