Charlène de Monaco au cœur d’une affaire de pédophilie, son confesseur condamné, confidence sur le |Invicta Men's Pro Diver Stainless Steel Quartz Watch: https://amzn.to/3zkrZSD . Please help me with an order to maintain the system, thanks a lot.| Charlène de Monaco se retrouve au cœur d’une affaire de pédophilie malgré elle. La princesse monégasque aurait joué de son statut et de son influence pour alléger la peine de William McCandless, son ancien conseiller spirituel. On vous dit tout. Le magazine Bunte consacre un dossier sur un proche de Charlène de Monaco. Selon l’article, l’ancien conseiller spirituel de la première dame monégasque, William McCandless, est condamné pour une affaire de pédophilie. Après le verdict du tribunal fédéral de Pennsylvanie, l’homme âgé de 57 ans a été reconnu coupable et condamné à trente-sept mois de réclusion. Pour précision, d’après la révélation du magazine Closer la justice américaine l’a condamné pour possession de vidéos et de photos de jeune garçon mineurs. À en croire les enquêteurs, c’était durant qu’il exerçait en tant que prêtre et en poste à Monaco. William McCandless a été le confesseur de la première dame monégasque. De plus, il était très proche d’elle. De temps en temps, il avait passé des journées avec l’épouse du Prince Albert de Monaco ainsi qu’avec leurs jumeaux, Jacques et Gabriella. Cependant, prises aux centres de ce scandale, ainsi qu’à la suite de sa condamnation, il serait jugé comme un délinquant sexuel. De ce fait, ce verdict le contraint à renoncer à jamais à son rôle de prêtre. Selon la révélation du magazine Bunte, Charlène de Monaco serait touché par ce qui arrive à son confesseur. Dans ce sens, il agit en fonction en lui apportant son soutien et son réconfort. Par conséquent, l’épouse du Prince Albert aurait envoyé Dawn Earl à son secours. Cette dernière serait une amie proche de l’ancienne nageuse professionnelle. Elle est âgée de 42 ans et exerce en tant que « Conseillère privée de la Princesse de Monaco ». Elle a pour mission de plaider à son nom et d’alléger sa peine. Cependant, il n’existerait aucune preuve pour affirmer qu’elle agit en suivant l’ordre de Charlène de Monaco.