Télécoms: abonnements de plus en plus chers, comment réduire votre facture?
- l’année dernière
#Télécoms #abonnementschers #comment
https://gotopnews.com/post/1605223
Toujours. Alors que la Belgique est l'un des pays les plus chers dans ce domaine, les prix de nos abonnements Internet, TV ou mobile sont soumis à de nouvelles augmentations. Et pas vraiment minime. Certaines formules sont en effet majorées de 70 voire 84 euros par an. Proximus a été le premier à tirer en annonçant des hausses de prix sur ses packs Flex XS , S et Premium avec ligne téléphonique fixe. Comptez 3 à 4 euros supplémentaires mensuels, soit de 36 à 48 euros plus par an. Même tendance à la hausse du côté de ses packs business. "L'inflation entraîne une augmentation significative coûts des salaires, de l'énergie et équipements technologiques", se défend Proximus. Depuis le 15 janvier, Orange est également passé à l'offensive. "En raison la situation économique actuelle, nous sommes contraints d'augmenter les prix nos offres mobiles afin continuer à garantir la qualité nos services", justifie l'opérateur. Ses packs Love Trio coûteront désormais 72 euros de plus par an. Voo n'est pas en reste et révisera également ses prix à la hausse à partir de février. Ses packs Quatro Giga Max subiront ainsi une hausse record de 7 euros par mois, soit 84 euros par an. On paye plus, on reçoit plus... Mais a-t-on vraiment besoin de ces volumes supplémentaires ? Ne jamais changer une équipe gagnante ? Selon les dernières études réalisées par l'Institut belge des télécommunications , la Belgique a encore et toujours des prix très élevés par rapport à ceux de ses voisins européens, notamment pour les services fixes . « En ce qui concerne les offres mobiles, revanche, la situation en Belgique 2022 a évolué favorablement par rapport à 2021, nuance toutefois l'IBPT. Les montants minimaux à payer pour répondre aux besoins données allant de 10 à 50 Go ont en effet nettement diminué au cours l'année écoulée. Et l'arbitre des télécoms salue les mesures réglementaires mises en place ces dernières années qui ont accru la concurrence tarifaire. « Depuis son entrée sur le marché, Orange s'est positionné comme un opérateur « challenger » proposant des offres généralement moins chères que celles commercialisées par les plus grands opérateurs via leurs principales marques. Ces opérateurs ont réagi à cette concurrence lançant également de nouvelles offres, en ajustant leurs propres prix ou contre-attaquant via leurs marques secondaires à moindre coût, comme Scarlet et Mobile Vikings Proximus, Zuny pour Voo et Tadaam Telenet. Des données pas des données On note cependant que Voo et Orange augmentent également leurs tarifs mobiles en 2023. Mais en ajoutant des gigaoctets à leurs forfaits. Petite consolation ? « C'est en tout cas la communication des opérateurs, décrypte Jimmy Smedts, porte-parole de l'IBPT. Ils disent aux consommateurs qu'ils paieront plus mais qu'ils en auront aussi pour leur argent. La questi
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Toujours. Alors que la Belgique est l'un des pays les plus chers dans ce domaine, les prix de nos abonnements Internet, TV ou mobile sont soumis à de nouvelles augmentations. Et pas vraiment minime. Certaines formules sont en effet majorées de 70 voire 84 euros par an. Proximus a été le premier à tirer en annonçant des hausses de prix sur ses packs Flex XS , S et Premium avec ligne téléphonique fixe. Comptez 3 à 4 euros supplémentaires mensuels, soit de 36 à 48 euros plus par an. Même tendance à la hausse du côté de ses packs business. "L'inflation entraîne une augmentation significative coûts des salaires, de l'énergie et équipements technologiques", se défend Proximus. Depuis le 15 janvier, Orange est également passé à l'offensive. "En raison la situation économique actuelle, nous sommes contraints d'augmenter les prix nos offres mobiles afin continuer à garantir la qualité nos services", justifie l'opérateur. Ses packs Love Trio coûteront désormais 72 euros de plus par an. Voo n'est pas en reste et révisera également ses prix à la hausse à partir de février. Ses packs Quatro Giga Max subiront ainsi une hausse record de 7 euros par mois, soit 84 euros par an. On paye plus, on reçoit plus... Mais a-t-on vraiment besoin de ces volumes supplémentaires ? Ne jamais changer une équipe gagnante ? Selon les dernières études réalisées par l'Institut belge des télécommunications , la Belgique a encore et toujours des prix très élevés par rapport à ceux de ses voisins européens, notamment pour les services fixes . « En ce qui concerne les offres mobiles, revanche, la situation en Belgique 2022 a évolué favorablement par rapport à 2021, nuance toutefois l'IBPT. Les montants minimaux à payer pour répondre aux besoins données allant de 10 à 50 Go ont en effet nettement diminué au cours l'année écoulée. Et l'arbitre des télécoms salue les mesures réglementaires mises en place ces dernières années qui ont accru la concurrence tarifaire. « Depuis son entrée sur le marché, Orange s'est positionné comme un opérateur « challenger » proposant des offres généralement moins chères que celles commercialisées par les plus grands opérateurs via leurs principales marques. Ces opérateurs ont réagi à cette concurrence lançant également de nouvelles offres, en ajustant leurs propres prix ou contre-attaquant via leurs marques secondaires à moindre coût, comme Scarlet et Mobile Vikings Proximus, Zuny pour Voo et Tadaam Telenet. Des données pas des données On note cependant que Voo et Orange augmentent également leurs tarifs mobiles en 2023. Mais en ajoutant des gigaoctets à leurs forfaits. Petite consolation ? « C'est en tout cas la communication des opérateurs, décrypte Jimmy Smedts, porte-parole de l'IBPT. Ils disent aux consommateurs qu'ils paieront plus mais qu'ils en auront aussi pour leur argent. La questi