La presse française et plus de 50 personnalités s'unissent pour demander la libération d'Olivier Van
- l’année dernière
#Lapresse #française50 #personnalitéssunissent
https://gotopnews.com/post/1461652
Né le 19 janvier 1981 à Tournai, Olivier Vandecasteee a passé le jalon de 42 ans jeudi, quelque part à Téhéran dans un deux mètres sur trois cellules situées au sous-sol d'un bâtiment.à l'insu des autorités belges. Il n'a qu'un seul t-shirt tandis que les températures passent en dessous de zéro degré de nos jours dans la capitale iranienne. L'aide humanitaire belge fait partie des vingt Européens et des Américains que l'Iran détient au nom de ce qui est modestement appelé "diplomatie d'otages". Ils sont accusés d'espionnage ou de participation à la sécurité nationale lorsque le régime est dans l'emprise avec un différend intérieur sans précédent depuis MahsaLa mort d'Amini en septembre dernier. Lisez également les nouvelles internationales de 2022: la mort de Mahsa Amini met le régime iranien en danger Tout a changé pour lui le soir du 24 février 2022. Ce soir-là, il était avec des amis à Téhéran. Il signifie au revoir parce que, le lendemain, il a dû retourner à Bruxelles après ce court séjour où il a fermé le bail de son appartementet récupéré ses effets personnels. Nous commandons des pizzas, mais au lieu d'un livreur, ce sont des hommes civils armés qui se précipitent. "Ils ont séparé les hommes et les femmes", explique son grand ami Olivier Van Steirtegem. "Olivier est agenouillé et menotté. Il ne fait pass'opposer. Il demande à pouvoir contacter l'ambassade, qui lui est refusé." Ainsi commence la descente dans l'enfer d'un Petri belge de la culture perse, pour qui l'Iran était une deuxième maison. L'otage belge est la plus jeune d'une famille de trois enfants. Deux sœurs: Nathalie et Virginie. Une femme au foyer, consacrée à d'autres.Les père ont géré l'un des plus grands concessionnaires automobiles de la région entre Courtrai et Tournai.Village près de Kortrijk mais s'est installé à Ramegnies-Chin pour créer une filiale du groupe Vandecastee dans les Cité des Five Clochers. "Nous parlions flamands la maison, mais il a fait sa scolarité en français", a déclaré sa sœur Nathalie, "sauf à 12 ans, lorsque les parents ont décidé qu'il devait faire deux ans de pensionnat Kortrijk". Pour reste, Olivier fait ses primaires secondaire à Notre-Dame à Tournai.Il est passionné par volleyball et joue en compétition avec templeuve Olympic Tournai.Il aime rock, découvre mode Depeche Nirvana.Later, il se déplacera vers la musique du monde. Le virus humanitaire au Népal Son père le voulait reprise affaires familiales et en 1998, il a commencé des études sur l'économie l'Université de Saint-Louis, se poursuit avec une maîtrise la Louvain School of Management et se termine par un troisième cycle Thekul en relations internationaleset résolution conflits. À la fin de ses études, en 2004, il est allé au Népal lorsqu'un tsunami a dévasté les pays bordant l'océan Indien. C'est sans au
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Né le 19 janvier 1981 à Tournai, Olivier Vandecasteee a passé le jalon de 42 ans jeudi, quelque part à Téhéran dans un deux mètres sur trois cellules situées au sous-sol d'un bâtiment.à l'insu des autorités belges. Il n'a qu'un seul t-shirt tandis que les températures passent en dessous de zéro degré de nos jours dans la capitale iranienne. L'aide humanitaire belge fait partie des vingt Européens et des Américains que l'Iran détient au nom de ce qui est modestement appelé "diplomatie d'otages". Ils sont accusés d'espionnage ou de participation à la sécurité nationale lorsque le régime est dans l'emprise avec un différend intérieur sans précédent depuis MahsaLa mort d'Amini en septembre dernier. Lisez également les nouvelles internationales de 2022: la mort de Mahsa Amini met le régime iranien en danger Tout a changé pour lui le soir du 24 février 2022. Ce soir-là, il était avec des amis à Téhéran. Il signifie au revoir parce que, le lendemain, il a dû retourner à Bruxelles après ce court séjour où il a fermé le bail de son appartementet récupéré ses effets personnels. Nous commandons des pizzas, mais au lieu d'un livreur, ce sont des hommes civils armés qui se précipitent. "Ils ont séparé les hommes et les femmes", explique son grand ami Olivier Van Steirtegem. "Olivier est agenouillé et menotté. Il ne fait pass'opposer. Il demande à pouvoir contacter l'ambassade, qui lui est refusé." Ainsi commence la descente dans l'enfer d'un Petri belge de la culture perse, pour qui l'Iran était une deuxième maison. L'otage belge est la plus jeune d'une famille de trois enfants. Deux sœurs: Nathalie et Virginie. Une femme au foyer, consacrée à d'autres.Les père ont géré l'un des plus grands concessionnaires automobiles de la région entre Courtrai et Tournai.Village près de Kortrijk mais s'est installé à Ramegnies-Chin pour créer une filiale du groupe Vandecastee dans les Cité des Five Clochers. "Nous parlions flamands la maison, mais il a fait sa scolarité en français", a déclaré sa sœur Nathalie, "sauf à 12 ans, lorsque les parents ont décidé qu'il devait faire deux ans de pensionnat Kortrijk". Pour reste, Olivier fait ses primaires secondaire à Notre-Dame à Tournai.Il est passionné par volleyball et joue en compétition avec templeuve Olympic Tournai.Il aime rock, découvre mode Depeche Nirvana.Later, il se déplacera vers la musique du monde. Le virus humanitaire au Népal Son père le voulait reprise affaires familiales et en 1998, il a commencé des études sur l'économie l'Université de Saint-Louis, se poursuit avec une maîtrise la Louvain School of Management et se termine par un troisième cycle Thekul en relations internationaleset résolution conflits. À la fin de ses études, en 2004, il est allé au Népal lorsqu'un tsunami a dévasté les pays bordant l'océan Indien. C'est sans au