Covid-19, bronchiolite, grippe: la situation s'améliore, mais la gastro-entérite est bientôt de reto
- l’année dernière
#Covid19 #bronchiolite #grippe
https://gotopnews.com/post/1530783
Ce début l'année 2023 est marqué par une forte baisse des trois épidémies du Covid-19, la grippe et la bronchiolite, même si le risque récupération persiste selon certains experts. "Le pire est terminé. "À mi-décembre, personnel l'hôpital, asphyxié, a appelé l'aide face à une triple épidémie.La 9e vague Covid-19, un virus grippe très répandu une épidémie bronchiolite sans précédent ont forcé François Braun, ministre Santé, pour multiplier les appels vaccination et retour des gestes barrière avant Noël nouvelle année. "Pour trois épidémies, Covid-19, grippe et bronchiolite, les pics ces trois virus respiratoires sont derrière nous, tendances sont en baisse", MIRCEA SOFONEA RÉSULÉS, maître de conférences à l'Université Montpellier. Une diminution contaminations et des hospitalisations confirmées par la santé publique France , même si les autorités sanitaires sont toujours vigilantes et craignent explosions qui pourraient à nouveau affaiblir le système hospitalier français, déjà à l'agonie. • la fin de la neuvième vague de Covid-19 La neuvième vague de contamination Covid-19, qui a culminé vers la mi-décembre, semble maintenant derrière nous. «Nous sommes passés d'une trentaine de tests par jour à 5-6 tests par jour.Le covide est tombé soudainement », a témoigné Frédéric Desmoulins, pharmacien à Issy-les-Moulineaux. Selon dernières données du SPF, du 9 au 15 janvier, taux d'incidence et de positivité diminuent dans toutes zones métropolitaines.Idem pour le taux de nouvelles hospitalisations, admissions aux soins intensifs et décès. Mais les professionnels santé ne pleurent pas trop rapidement victoire parce que perspective d'une nouvelle vague n'est pas exclue.Pour Philippe Amouyel, professeur santé publique à l'hôpital universitaire Lille, "nous sommes au début phase endémique, d'autres résurgences devraient arriver, conditionnés par exemple à l'arrivée nouvelles variantes". Même histoire pour Mircea Sofonea, maître conférences à l'Université Montpellier: "Le reste est difficile à estimer car cela dépend quel sous-variateur prendra le relais, sur la façon dont les gens prendront la main sur ce nouveau contexte santé où il n'y a que des recommandations et plusincitations fortes. C'est pourquoi nous pourrions "très bien avoir une 10e vague imminente à l'horizon, mais il est très difficile de dire quand", a-t-il analysé. Par exemple, le sous-variant XBB.1.5, qui est apparu aux États-Unis, devrait devenir dominant en Europe dans un mois ou deux, selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies .Il reste à voir ce qui sera son évasion immunitaire ou son impact sur les hospitalisations en France. • grippe sévère, mais diminuant Cette épidémie, particulièrement grave cette année, n'est pas encore terminée, mais comme pour Covid-19, un pic a été atteint.Le SPF i
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Ce début l'année 2023 est marqué par une forte baisse des trois épidémies du Covid-19, la grippe et la bronchiolite, même si le risque récupération persiste selon certains experts. "Le pire est terminé. "À mi-décembre, personnel l'hôpital, asphyxié, a appelé l'aide face à une triple épidémie.La 9e vague Covid-19, un virus grippe très répandu une épidémie bronchiolite sans précédent ont forcé François Braun, ministre Santé, pour multiplier les appels vaccination et retour des gestes barrière avant Noël nouvelle année. "Pour trois épidémies, Covid-19, grippe et bronchiolite, les pics ces trois virus respiratoires sont derrière nous, tendances sont en baisse", MIRCEA SOFONEA RÉSULÉS, maître de conférences à l'Université Montpellier. Une diminution contaminations et des hospitalisations confirmées par la santé publique France , même si les autorités sanitaires sont toujours vigilantes et craignent explosions qui pourraient à nouveau affaiblir le système hospitalier français, déjà à l'agonie. • la fin de la neuvième vague de Covid-19 La neuvième vague de contamination Covid-19, qui a culminé vers la mi-décembre, semble maintenant derrière nous. «Nous sommes passés d'une trentaine de tests par jour à 5-6 tests par jour.Le covide est tombé soudainement », a témoigné Frédéric Desmoulins, pharmacien à Issy-les-Moulineaux. Selon dernières données du SPF, du 9 au 15 janvier, taux d'incidence et de positivité diminuent dans toutes zones métropolitaines.Idem pour le taux de nouvelles hospitalisations, admissions aux soins intensifs et décès. Mais les professionnels santé ne pleurent pas trop rapidement victoire parce que perspective d'une nouvelle vague n'est pas exclue.Pour Philippe Amouyel, professeur santé publique à l'hôpital universitaire Lille, "nous sommes au début phase endémique, d'autres résurgences devraient arriver, conditionnés par exemple à l'arrivée nouvelles variantes". Même histoire pour Mircea Sofonea, maître conférences à l'Université Montpellier: "Le reste est difficile à estimer car cela dépend quel sous-variateur prendra le relais, sur la façon dont les gens prendront la main sur ce nouveau contexte santé où il n'y a que des recommandations et plusincitations fortes. C'est pourquoi nous pourrions "très bien avoir une 10e vague imminente à l'horizon, mais il est très difficile de dire quand", a-t-il analysé. Par exemple, le sous-variant XBB.1.5, qui est apparu aux États-Unis, devrait devenir dominant en Europe dans un mois ou deux, selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies .Il reste à voir ce qui sera son évasion immunitaire ou son impact sur les hospitalisations en France. • grippe sévère, mais diminuant Cette épidémie, particulièrement grave cette année, n'est pas encore terminée, mais comme pour Covid-19, un pic a été atteint.Le SPF i