L'affaire P.K subban: symptôme de la «financialisation excessive» du monde du sport?
- l’année dernière
#LaffairePK #subban #symptôme
https://gotopnews.com/post/1472804
Le Bureau d'enquête TVA Nouvelle a révélé jeudi que P.K.Subban n'a pas détenu sa promesse lever 10 millions dollars en sept ans au profit l'hôpital pour enfants Montréal; une violation qui met la campagne à l'horizon l'instrumentalisation mutuelle des parties impliquées. C'est ce qu'il faut faire entrer une interview avec Tva Nouvelle André Richelieu, professeur et spécialiste du marketing sportif "En voulant, je dirais, monétiser votre image marque d'un côté et profiter de la renommée pour récupérer l'argent, ce n'est pas quelque chose d'inhabituel, mais cela peut se terminer par des poissons lorsque les thèses ne sont pas claires, et lorsque nous mettons l'accent sur les relations publiques plutôt que surEn conséquence, "il a synthétisé. "Une marque une promesse", a-t-il ajouté.p.k.Subban une marque, c'était un joueur vedette lors sa visite aux Canadiens Montréal; sa réputation en jeu.Lorsque vous parlez d'une cause comme celle santé des enfants, il très dangereux d'instrumenter cette cause et ne pas tenir la promesse marque." L'ancien défenseur Tricolor Star a jusqu'à présent levé 3,6 millions de dollars et la majorité ce montant provient du public. À cet égard, les experts des relations publiques dénoncent le manque de transparence dans l'accord entre P.K.Subban et l'hôpital pour enfants de Montréal. Pour beaucoup, la confusion est sémantique, car un montant est annoncé, nous pensons qu'il s'agit d'un cadeau, mais en fin de compte, la promesse n'est pas tenue, de sorte que l'écart entre "Don" et "Promise" Plungesseveral dans le désarroi, surtout lorsque l'annoncea été fait avec une grande fanfare. «Nous sommes aujourd'hui, monde du sport, dans contexte financialisation excessive, c'est-à-dire que l'argent occupe un endroit si important, que le sport devient finalement levier monétiser la marque [...], et [nous donc nousont] partenaires qui cherchent s'associer à fortes marques sportives ramasser l'argent financer différentes causes, et nous arrivons parfois des situations compromettantes, car en effet, les choses ne sont pas claires, car mettons beaucoup d'accent sur l'annonce, sur les relations publiques- Et vous vous souviendrez tout panache qui avait entouré cette annonce 10 millions dollars l'époque [...] », déplore M. Richelieu. L'enseignant et le marketing sportif spécialisé balayent également les arguments selon lesquels P.K.Subban n'a pas été en mesure remplir ses obligations en raison la pandémie, ni son échange à une autre équipe la National Hockey League . "Avec toute cette histoire et la pression qui suit, je suis convaincu que nous trouverons une solution pour atteindre l'objectif, mais il n'y a pas vraiment d'excuse que l'on peut trouver [...]", conclut-il.
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Le Bureau d'enquête TVA Nouvelle a révélé jeudi que P.K.Subban n'a pas détenu sa promesse lever 10 millions dollars en sept ans au profit l'hôpital pour enfants Montréal; une violation qui met la campagne à l'horizon l'instrumentalisation mutuelle des parties impliquées. C'est ce qu'il faut faire entrer une interview avec Tva Nouvelle André Richelieu, professeur et spécialiste du marketing sportif "En voulant, je dirais, monétiser votre image marque d'un côté et profiter de la renommée pour récupérer l'argent, ce n'est pas quelque chose d'inhabituel, mais cela peut se terminer par des poissons lorsque les thèses ne sont pas claires, et lorsque nous mettons l'accent sur les relations publiques plutôt que surEn conséquence, "il a synthétisé. "Une marque une promesse", a-t-il ajouté.p.k.Subban une marque, c'était un joueur vedette lors sa visite aux Canadiens Montréal; sa réputation en jeu.Lorsque vous parlez d'une cause comme celle santé des enfants, il très dangereux d'instrumenter cette cause et ne pas tenir la promesse marque." L'ancien défenseur Tricolor Star a jusqu'à présent levé 3,6 millions de dollars et la majorité ce montant provient du public. À cet égard, les experts des relations publiques dénoncent le manque de transparence dans l'accord entre P.K.Subban et l'hôpital pour enfants de Montréal. Pour beaucoup, la confusion est sémantique, car un montant est annoncé, nous pensons qu'il s'agit d'un cadeau, mais en fin de compte, la promesse n'est pas tenue, de sorte que l'écart entre "Don" et "Promise" Plungesseveral dans le désarroi, surtout lorsque l'annoncea été fait avec une grande fanfare. «Nous sommes aujourd'hui, monde du sport, dans contexte financialisation excessive, c'est-à-dire que l'argent occupe un endroit si important, que le sport devient finalement levier monétiser la marque [...], et [nous donc nousont] partenaires qui cherchent s'associer à fortes marques sportives ramasser l'argent financer différentes causes, et nous arrivons parfois des situations compromettantes, car en effet, les choses ne sont pas claires, car mettons beaucoup d'accent sur l'annonce, sur les relations publiques- Et vous vous souviendrez tout panache qui avait entouré cette annonce 10 millions dollars l'époque [...] », déplore M. Richelieu. L'enseignant et le marketing sportif spécialisé balayent également les arguments selon lesquels P.K.Subban n'a pas été en mesure remplir ses obligations en raison la pandémie, ni son échange à une autre équipe la National Hockey League . "Avec toute cette histoire et la pression qui suit, je suis convaincu que nous trouverons une solution pour atteindre l'objectif, mais il n'y a pas vraiment d'excuse que l'on peut trouver [...]", conclut-il.