Confiance minée en ce qui concerne le CF Montréal: un expert en marketing sportif déplore l'accumula
- l’année dernière
#Confianceminée #concerneCF #Montréal
https://gotopnews.com/post/1334652
La décision d'embaucher Sandro Grande est ajoutée à un choix controversé du CF Montréal ces dernières années et le lien de la confiance dans l'organisation s'effondre, estime Frank Pons, directeur de l'Observatoire international en gestion de TheSport. Qu'il s'agisse du grand cas, du changement de logo et de nom, les collations avec les ultras ou d'autres événements qui ont causé de l'encre, le CF Montréal est souvent gêné. M. Pons, qui s'intéresse particulièrement au marketing sportif et aux problèmes liés à la marque, est d'avis que l'usure peut se retrouver. "C'est surtout le nombre de mauvaises décisions qui sape progressivement la confiance dans l'organisation. Ce n'est pas cette décision plus qu'un autre qui durera au fil du temps. C'est l'accumulation de décisions mal comprises qui font que les gens se demandent comment cette organisation fonctionne", ildit dans un interview avec le journal. Manque de considération Pour M. Pons, il est difficile de concevoir qu'une organisation professionnelle établie depuis si longtemps aurait pu manquer tellement de flair dans l'embauche de Sandro Grande, après ses mots controversés, même si ceux-ci datent de 2012. "Toute équipe sportive impliquée dans la société qui l'entoure, que ce soit au Québec ou ailleurs, doit prendre en compte les aspects politiques locaux et nationaux qui ont un impact sur ses clients. La décision n'était pas de donner beaucoup de poids à cela etest une mauvaise décision ", a-t-il déclaré. Comme Logan Mailloux Aux yeux du professeur titulaire du département marketing de l'Université Laval, cette affaire rappelle un récent dossier épineux auprès du Canadien. "Le sujet est différent, mais il se souvient quand le Canadien a rédigé Logan Mailoux.C'est un choix qui jette du pétrole sur le feu. Dans les deux cas, les organisations ont décidé que le critère sportif était plus important pour eux", a-t-il déclaré. "Avions-nous vraiment besoin de lui [Sandro Grande] en tant qu'entraîneur? Il est certainement très qualifié. L'organisation a jugé qu'elle irait dans les yeux du public, mais je ne suis pas sûr que le risque valait la bougie."" Une tache temporaire Cela dit, Frank Pons estime que le mécontentement actuel, comme c'est toujours le cas dans le sport, ne sera pas éternel. "L'image ne sera pas négative pour toujours parce que pour une équipe, même en cas de scandale, le sport est la preuve de tout quand il reprend. Nous allons continuer à parler de ces mauvaises décisions? Seulement si l'équipe connaît un mauvais sportrésultats.""
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La décision d'embaucher Sandro Grande est ajoutée à un choix controversé du CF Montréal ces dernières années et le lien de la confiance dans l'organisation s'effondre, estime Frank Pons, directeur de l'Observatoire international en gestion de TheSport. Qu'il s'agisse du grand cas, du changement de logo et de nom, les collations avec les ultras ou d'autres événements qui ont causé de l'encre, le CF Montréal est souvent gêné. M. Pons, qui s'intéresse particulièrement au marketing sportif et aux problèmes liés à la marque, est d'avis que l'usure peut se retrouver. "C'est surtout le nombre de mauvaises décisions qui sape progressivement la confiance dans l'organisation. Ce n'est pas cette décision plus qu'un autre qui durera au fil du temps. C'est l'accumulation de décisions mal comprises qui font que les gens se demandent comment cette organisation fonctionne", ildit dans un interview avec le journal. Manque de considération Pour M. Pons, il est difficile de concevoir qu'une organisation professionnelle établie depuis si longtemps aurait pu manquer tellement de flair dans l'embauche de Sandro Grande, après ses mots controversés, même si ceux-ci datent de 2012. "Toute équipe sportive impliquée dans la société qui l'entoure, que ce soit au Québec ou ailleurs, doit prendre en compte les aspects politiques locaux et nationaux qui ont un impact sur ses clients. La décision n'était pas de donner beaucoup de poids à cela etest une mauvaise décision ", a-t-il déclaré. Comme Logan Mailloux Aux yeux du professeur titulaire du département marketing de l'Université Laval, cette affaire rappelle un récent dossier épineux auprès du Canadien. "Le sujet est différent, mais il se souvient quand le Canadien a rédigé Logan Mailoux.C'est un choix qui jette du pétrole sur le feu. Dans les deux cas, les organisations ont décidé que le critère sportif était plus important pour eux", a-t-il déclaré. "Avions-nous vraiment besoin de lui [Sandro Grande] en tant qu'entraîneur? Il est certainement très qualifié. L'organisation a jugé qu'elle irait dans les yeux du public, mais je ne suis pas sûr que le risque valait la bougie."" Une tache temporaire Cela dit, Frank Pons estime que le mécontentement actuel, comme c'est toujours le cas dans le sport, ne sera pas éternel. "L'image ne sera pas négative pour toujours parce que pour une équipe, même en cas de scandale, le sport est la preuve de tout quand il reprend. Nous allons continuer à parler de ces mauvaises décisions? Seulement si l'équipe connaît un mauvais sportrésultats.""