« J'étais dans une énorme dépression » : Magali Berdah son explication autour de sa tendinite
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« J'étais dans une énorme dépression » : Magali Berdah son explication autour de sa tendinite
Au mois de septembre 2022, après des mois de cyber-harcèlement, Magali Berdah prenait la parole dans un numéro de Complément d'enquête  intitulé "arnaque,fric et politique, le vrai business des influenceurs". Dans ce documentaire diffusé sur France 2 portant tout particulièrement sur le business des placements de produits,celle qui a longtemps officié sur le plateau de Touche pas à mon poste évoquait la gestion des partenariats par son agence Shauna Events.
J'étais dans une énorme dépression Magalie Berda son explication autour de sa tendinite au mois de septembre 2022 après des mois de cyber-harcèlement Magadi Berda prenait la parole dans un numéro de complément d'enquête intitulée arnaque fric et politique le vrai business des influenceurs dans ce documentaire diffusé sur France 2 portant tout particulièrement sur le business des placements de produits [Musique] Magali Berda souhaitait mettre les choses au clair auprès de Jordan de luxe sur Télé Loisirs Magalie Berdah a assuré ne pas avoir choisi les bons mots dans cet entretien je reconnais et c'est de ma faute je me suis mal exprimée je ne m'exprimais pas super bien car j'étais dans une énorme dépression j'avais de la chance d'être en vie avec ce que j'ai subi ça a été monté à charge ils n'ont retenu que les petites parties qu'il voulait virgule a-t-elle assuré en effet ce que la femme d'affaires voulait dire c'est que cette montre était bien pour les gens qui ont une tendinite ça évite de porter le téléphone tout le temps une justification qu'elle tenait à faire mais qui n'a pas empêché à nouveau déferlement de haine alors qu'elle a dénoncé en septembre le cyberharcèlement dont elle est victime depuis de longs mois Magali Berdah a décidé de saisir la justice le 29 novembre dernier ne confrères du progrès révélé que 8 personnes 6 hommes et deux femmes âgées de 26 à 34 ans avaient été placés en garde à vue le 29 novembre dans le cadre de l'enquête en cours au pôle national de lutte contre la haine en ligne 5 de ces personnes ont été convoquées à une audience ultérieure pour être jugée notamment des chefs de cyberharcèlement aggravés
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