Notre critique de "Avatar 2": un meilleur cinéma de James Cameron visuellement à couper le souffle!
- l’année dernière
# #Notrecritique #Avatar #2
Une suite trop tardive? James Cameron joue grand avec Avatar: The Waterway.Il sait que, pour que sa saga continue - il a prévu cinq épisodes d'ici 2028, avec un budget global d'un milliard de dollars pour les quatre suites -, Avatar 2 doit s'établir comme "le"Troisième ou quatrième film le plus rentable de l'histoire », a-t-il déclaré en novembre. Mais contrairement à Star Wars, Harry Potter, le Seigneur des Anneaux ou les films Marvel, Avatar n'a pas été en mesure de capitaliser sur son incroyable succès et de créer un long - longtemps -Terme Craze.Books et autres jeux vidéo de l'univers du film n'a pas vraiment fonctionné. Cette suite est-elle arrivée trop tard? Si Cameron a attendu tellement avant de se lancer dans la suite d'Avatar, c'est parce qu'il cherche toujours les dernières technologies à jeter sur grand écran. Après avoir relancé la 3D avec Avatar en 2009, le cinéaste canadien met cette fois sur le HFR au menu, en utilisant jusqu'à 48 images par seconde pour rationaliser l'image, en particulier dans les scènes d'action. Si Peter Jackson avait planté en utilisant cette technologie sur sa trilogie Hobbit, l'effet est à couper le souffle ici.du premier avatar.Si nous restons sur la planète Pandora, nous quittons sa jungle pour découvrir son océan. Un univers esthétiquement beaucoup plus riche. Jake Sully et sa famille trouvent refuge avec les habitants de la mer, où Ronal et Tonowari règne. Recocalisation de la famille Après avoir vaincu l'invasion humaine, Jake , maintenant un na'vi comme les autres et plus un avatar, et Neytiri a vécu dans le bonheur.du maléfique colonel Quarrith, déterminé à venger ... sa propre mort à la fin de la première partie ... face à cette menace, le couple et leurs quatre enfants sont forcés d'aller se cacher des fruits de mer.Assez pour nous offrir des scènes sous-marines très impressionnantes et souvent assez magiques. Très centré sur la famille, Avatar 2 donne l'air d'apprentissage narratif dans le contexte d'un conte écologique.Mais, avec ses diatribes pseudo-philosophiques qu'il ressemble à une méthode de méditation, elle ne vole pas très haut.Forme, au-delà de l'aspect visuel, James Cameron reste une narration incroyable d'histoire, réussissant à nous permettre de continuer pendant plus de 3 heures, nous offrant une sorte de meilleur de son cinéma. Entre l'exploration de l'abîme, un commando marin sur unMission sur une planète lointaine comme dans les extraterrestres et même un naufrage de style titanic ... du grand spectacle! Lo’ak et son "Tulkun", les baleines de Pandora. Avatar: L'eau de l'eau / la voie de la science-fiction de l'eau par le scénario James Cameron James Cameron et Josh Friedman Photographie Russell Carpenter Music Simon Franglen avec Sam Worthington, Zoe Saldana, Stephen Lang, Kate Winslet… Durée 3H12
Une suite trop tardive? James Cameron joue grand avec Avatar: The Waterway.Il sait que, pour que sa saga continue - il a prévu cinq épisodes d'ici 2028, avec un budget global d'un milliard de dollars pour les quatre suites -, Avatar 2 doit s'établir comme "le"Troisième ou quatrième film le plus rentable de l'histoire », a-t-il déclaré en novembre. Mais contrairement à Star Wars, Harry Potter, le Seigneur des Anneaux ou les films Marvel, Avatar n'a pas été en mesure de capitaliser sur son incroyable succès et de créer un long - longtemps -Terme Craze.Books et autres jeux vidéo de l'univers du film n'a pas vraiment fonctionné. Cette suite est-elle arrivée trop tard? Si Cameron a attendu tellement avant de se lancer dans la suite d'Avatar, c'est parce qu'il cherche toujours les dernières technologies à jeter sur grand écran. Après avoir relancé la 3D avec Avatar en 2009, le cinéaste canadien met cette fois sur le HFR au menu, en utilisant jusqu'à 48 images par seconde pour rationaliser l'image, en particulier dans les scènes d'action. Si Peter Jackson avait planté en utilisant cette technologie sur sa trilogie Hobbit, l'effet est à couper le souffle ici.du premier avatar.Si nous restons sur la planète Pandora, nous quittons sa jungle pour découvrir son océan. Un univers esthétiquement beaucoup plus riche. Jake Sully et sa famille trouvent refuge avec les habitants de la mer, où Ronal et Tonowari règne. Recocalisation de la famille Après avoir vaincu l'invasion humaine, Jake , maintenant un na'vi comme les autres et plus un avatar, et Neytiri a vécu dans le bonheur.du maléfique colonel Quarrith, déterminé à venger ... sa propre mort à la fin de la première partie ... face à cette menace, le couple et leurs quatre enfants sont forcés d'aller se cacher des fruits de mer.Assez pour nous offrir des scènes sous-marines très impressionnantes et souvent assez magiques. Très centré sur la famille, Avatar 2 donne l'air d'apprentissage narratif dans le contexte d'un conte écologique.Mais, avec ses diatribes pseudo-philosophiques qu'il ressemble à une méthode de méditation, elle ne vole pas très haut.Forme, au-delà de l'aspect visuel, James Cameron reste une narration incroyable d'histoire, réussissant à nous permettre de continuer pendant plus de 3 heures, nous offrant une sorte de meilleur de son cinéma. Entre l'exploration de l'abîme, un commando marin sur unMission sur une planète lointaine comme dans les extraterrestres et même un naufrage de style titanic ... du grand spectacle! Lo’ak et son "Tulkun", les baleines de Pandora. Avatar: L'eau de l'eau / la voie de la science-fiction de l'eau par le scénario James Cameron James Cameron et Josh Friedman Photographie Russell Carpenter Music Simon Franglen avec Sam Worthington, Zoe Saldana, Stephen Lang, Kate Winslet… Durée 3H12