"Nous voulions passer une grande retraite au soleil, il nous manque": Pascal avait une maison constr
- l’année dernière
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Une villa en Espagne, un rêve qui se transforme en un cauchemar pour Pascal et sa femme. Le Namurois regrette les innombrables défauts de la maison après seulement 4 ans. 270 000 euros. C'est la somme que Pascal, originaire de Natoye , pour offrir une villa dans un petit coin du paradis 'dans le sud de l'Espagne. Une somme regrette en tenant compte des dysfonctions de la maison. "Moisture,Fissures dans la maison, problèmes dans le parking ... depuis l'achat il y a quatre ans, il y a eu beaucoup de problèmes dans la maison ", a déclaré la principale partie intéressée. Le retraité dit qu'il est fatigué de la situation." Jea suivi toute la construction et depuis lors, tout s'est détérioré. " Déterminé à obtenir une réparation, Pascal n'a pas abandonné et a contacté d'autres acheteurs belges qui ont fait face à la même inconvénient. "Je n'étais pas le seul à se plaindre, nous avons créé un groupe de travail avec d'autres Belges." Une réunion a été organisée par ce groupe nommé 'Amalfaçon 'En référence à l'agence espagnole Amal en charge du projet. Un représentant de ce dernier était présent, les propriétaires des Villas et la personne responsable du dossier de l'agence Secundo . "Les autres propriétaires ont accepté l'accord proposé, pour faire réparer certains des dégâts mais laisser tomber tout le reste, et maintenant je suis tout seul à combattre." Pascal dit qu'il avait un problème personnel qui l'empêchait d'assister à la réunion et croitque toutes les communications ont été rompues depuis. Les agences nient Si Pascal est particulièrement rigoureux à l'agence Secundo basée à Erpent pour son manque de suivi, Isalbelle Gasquis, en charge du dossier, n'est pas du même avis. "Je suis surpris parce que plusieurs minutes prouvent que tout a été résolu. "Elle ne nie pas les problèmes rencontrés, mais pense que tout est résolu." Le problème qui peut arriver est que certains clients contactent directement le fabricant est plus difficile de résoudre les choses. "Selon elle, c'est ce que Pascal a fait. Nous avons également demandé à Amal, le promoteur espagnol, et c'est encore une étonnement. "Nous sommes préoccupés par le comportement de Monsieur, qui a annulé la veille, l'exécution de l'œuvre qu'il avait acceptée. Depuis lors., il y a eu un manque de compréhension persistant qui nous oblige à laisser la question entre les mains de nos avocats ", a-t-il expliqué par e-mail. Toujours en attente Comme nous le comprenons, le manque de compréhension est la seule chose que tout le monde est d'accord, mais pendant le Guéguerre entre les avocats des différentes parties, Pascal attend. Je suis en normesEt dans mes droits. "L'acheteur est déçu." Nous voulions passer une belle retraite au soleil, il est manqué. J'espère avoir de la satisfaction mais ce n'est vraiment pas sympa. "Pascal admet avoir pensé à vendre avant d'abandonner.
Une villa en Espagne, un rêve qui se transforme en un cauchemar pour Pascal et sa femme. Le Namurois regrette les innombrables défauts de la maison après seulement 4 ans. 270 000 euros. C'est la somme que Pascal, originaire de Natoye , pour offrir une villa dans un petit coin du paradis 'dans le sud de l'Espagne. Une somme regrette en tenant compte des dysfonctions de la maison. "Moisture,Fissures dans la maison, problèmes dans le parking ... depuis l'achat il y a quatre ans, il y a eu beaucoup de problèmes dans la maison ", a déclaré la principale partie intéressée. Le retraité dit qu'il est fatigué de la situation." Jea suivi toute la construction et depuis lors, tout s'est détérioré. " Déterminé à obtenir une réparation, Pascal n'a pas abandonné et a contacté d'autres acheteurs belges qui ont fait face à la même inconvénient. "Je n'étais pas le seul à se plaindre, nous avons créé un groupe de travail avec d'autres Belges." Une réunion a été organisée par ce groupe nommé 'Amalfaçon 'En référence à l'agence espagnole Amal en charge du projet. Un représentant de ce dernier était présent, les propriétaires des Villas et la personne responsable du dossier de l'agence Secundo . "Les autres propriétaires ont accepté l'accord proposé, pour faire réparer certains des dégâts mais laisser tomber tout le reste, et maintenant je suis tout seul à combattre." Pascal dit qu'il avait un problème personnel qui l'empêchait d'assister à la réunion et croitque toutes les communications ont été rompues depuis. Les agences nient Si Pascal est particulièrement rigoureux à l'agence Secundo basée à Erpent pour son manque de suivi, Isalbelle Gasquis, en charge du dossier, n'est pas du même avis. "Je suis surpris parce que plusieurs minutes prouvent que tout a été résolu. "Elle ne nie pas les problèmes rencontrés, mais pense que tout est résolu." Le problème qui peut arriver est que certains clients contactent directement le fabricant est plus difficile de résoudre les choses. "Selon elle, c'est ce que Pascal a fait. Nous avons également demandé à Amal, le promoteur espagnol, et c'est encore une étonnement. "Nous sommes préoccupés par le comportement de Monsieur, qui a annulé la veille, l'exécution de l'œuvre qu'il avait acceptée. Depuis lors., il y a eu un manque de compréhension persistant qui nous oblige à laisser la question entre les mains de nos avocats ", a-t-il expliqué par e-mail. Toujours en attente Comme nous le comprenons, le manque de compréhension est la seule chose que tout le monde est d'accord, mais pendant le Guéguerre entre les avocats des différentes parties, Pascal attend. Je suis en normesEt dans mes droits. "L'acheteur est déçu." Nous voulions passer une belle retraite au soleil, il est manqué. J'espère avoir de la satisfaction mais ce n'est vraiment pas sympa. "Pascal admet avoir pensé à vendre avant d'abandonner.