Montréal veut faciliter la conversion des bureaux en logements

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Selon les données de la ville de Montréal, le taux d'infraction des bureaux du quartier des affaires est actuellement de 16%, ce qui augmente constamment depuis 2020. Alors que la normalisation du télétravail laisse de nombreux bureaux déserts, la ville de Montréal veut faciliter la conversion des tours du centre-ville en appartements, pour aider à résoudre la crise du logement. «Le centre-ville est transformé, il existe de nombreux locaux vacants.chef du développement économique au sein du comité exécutif, dans une interview sur la touche de l'étude du budget municipal par le Comité des finances et de l'administration. Selon les données de la ville de Montréal, le taux de vacances de l'infraction dans le quartier des affaires est actuellement de 16%, en constante augmentation depuis 2020. Le groupe Altus prévoit qu'il pourrait atteindre 29% d'ici 2027, le travail sincère en mode hybride devient la norme. En comparaison, le taux de vide des vacances à Montréal est de 3%. Il est encore plus faible pour les logements abordables, mais plus élevés pour les appartements avec des loyers plus chers. Que peut faire la ville à ce sujet? Il pourrait changer sa réglementation pour faciliter les transformations des bureaux en appartements, et les élus municipaux examinent la question, révèle M. Rabouin. Actuellement, le zonage de certains terres empêche l'utilisation résidentielle. "Nous sommes en pleine révision du plan urbain. Nous travaillons sur une stratégie du centre-ville en 2030, il y a eu des consultations sur ce sujet, mais aussi sur la vision de la ville. Au cours de l'année prochaine et demie, nous aurons plus précisDes orientations sur ce que nous pouvons faire et ce que nous devons faire ", a-t-il déclaré, ajoutant qu'il faudra probablement quelques années avant de telles conversions Concrete. Nous sommes déjà en discussion avec certains propriétaires et promoteurs, et il y a certainement un intérêt. La ville pourrait elle-même acheter des immeubles de bureaux en prévision de leur transformation en logements sociaux ou abordables, mais il est plus probable que ces conversions soient effectuées par des promoteurs privés, en raison du coût élevé des propriétés. L'installation de plus de résidents dans le centre-ville signifie que l'urbanisme devra être examiné. "Dès qu'il sera résidentiel, il faut des écoles, des épiceries, des espaces verts", se souvient Luc Rabouin. Pas placer la ville marie Le président de la chambre de commerce métropolitaine de Montréal, Michel LeBlanc, est ravi de voir que l'administration municipale veut offrir plus de flexibilité aux propriétaires de tours de bureau, mais il ne s'attend pas à ce qu'il y ait une vague de conversions. "Nous ne parlons pas de bâtiments prestigieux comme Place Ville Marie", note-t-il." La demande reste forte pour les bâtiments de catégorie A, ajoute-t-il. Certaines ent

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