Absolution de Simon Houle: La Couronne revendique 18 mois d'appel de prison

  • l’année dernière
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L'ingénieur qui avait obtenu l'absolution après avoir agressé sexuellement un ami sympathique devrait plutôt recevoir une peine pouvant aller jusqu'à 18 mois de prison, a plaidé la Couronne vendredi, à la Cour d'appel. «Simon Houle a attaqué la victime en trois parties différentes, la victime a tenté de se retirer de la situation.Il a gardé pendant 44 jours. L'absolution ne reflète pas la gravité de la situation », m'a fait valoir Eve Lyne Goulet, de la Couronne, ce matin à la Cour d'appel du Québec. Houle, 31 ans, avait fait les gros titres cet été, alors qu'il avait obtenu l'absolution conditionnelle après avoir admis une agression sexuelle contre un ami lors d'une soirée à Trois-Rivières, en 2019. De plus, il avait pris des phottes, l'un de ses amis avait trouvé presqueun mois plus tard. Jugement controversé Cependant, après que Houle a été reconnu coupable d'agression sexuelle et de voyeurisme, le juge Matthieu Poliquin lui avait accordé une absolution conditionnelle à la probation, afin de ne pas nuire à sa carrière. "La condamnation aurait des conséquences particulièrement négatives", a déclaré le juge, affirmant qu'un casier judiciaire l'empêcherait de voyager. Cette décision avait provoqué un tumulte au public et pour la couronne, c'est parce que c'était une peine déraisonnable. "Nous devons accroître la confiance des victimes envers le système judiciaire", a déclaré Goulet ce vendredi. L'absolution est appropriée dans certains cas spécifiques, mais pas ici." Le procureur a ensuite rappelé l'impact que le crime a eu sur la victime. Ensuite, pour démanteler l'argument du juge de police voulant que Houle soit une personne de "bonne moralité", elle a rappelé que "les attaquants sexuels n'ont pas de profil particulier". "Les infractions sont de manière opportuniste", a déclaré le procureur, demandant à la plus haute cour de Québec de remplacer l'absolution par une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 18 mois. Sans oublier que lors des arguments sur la peine, Houle avait avoué avoir commis un crime similaire dans le passé, mais pour lequel il n'avait jamais été accusé. Houle défend la décision Sans surprise, l'avocat de Houle a fait valoir que son client devrait préserver son absolution. "Le juge du procès est en première ligne, il est mieux placé pour imposer une peine juste et appropriée", m'a plaidé Pierre Espagne. L'avocat a ainsi disséqué le jugement de police pour démontrer qu'il n'y avait aucune erreur justifiant l'intervention de la Cour d'appel. "Lorsque le juge a parlé de l'agression" après tout rapidement ", si nous lisons tout le paragraphe, nous voyons qu'il n'a pas minimisé, il voulait dire que [la gonflement] n'a pas commis ces gestes plusieurs fois sur le point", a-t-il dit, a-t-il dit,L'ajout de tous les médias après la phrase a certainement dissuasif sur son client. Après avoir entendu les parties, l

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