En cas d'hiver sévère, la Belgique peut manquer de gaz
- l’année dernière
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En cas d'hiver sévère ou froid persistant, la Belgique peut manquer de gaz, avertit le rapport soumis au gouvernement Croo et à la co-signée par Elia, Fluxys and Energy Administration, rapport vendredi Thecho et Tijd. En cas de froid, les exportations du Royaume-Uni vers la Belgique peuvent diminuer rapidement, ou même s'arrêter complètement si les températures sont inférieures à 0 ° C pour cet hiver, si la température est égale ou supérieure à 0 ° C, il devrait y avoirne pas être un problème, estime le rapport. La phase ultime: demandez la réduction de la consommation À partir de 0 ° C, la Belgique peut ne plus avoir suffisamment d'excès de gaz pour exporter vers l'Allemagne et les Pays-Bas. La Belgique irait alors à la dernière phase de son plan d'urgence du gaz, au cours de laquelle les autorités peuvent demander à certaines catégories de consommateurs de réduire ou même d'arrêter leur utilisation de gaz. Le cabinet du ministre de l'Énergie Tinne van der Straeten dit qu'il est "bien que l'administration prenne en compte des situations extrêmes, mais que la sécurité de l'approvisionnement est garantie".
En cas d'hiver sévère ou froid persistant, la Belgique peut manquer de gaz, avertit le rapport soumis au gouvernement Croo et à la co-signée par Elia, Fluxys and Energy Administration, rapport vendredi Thecho et Tijd. En cas de froid, les exportations du Royaume-Uni vers la Belgique peuvent diminuer rapidement, ou même s'arrêter complètement si les températures sont inférieures à 0 ° C pour cet hiver, si la température est égale ou supérieure à 0 ° C, il devrait y avoirne pas être un problème, estime le rapport. La phase ultime: demandez la réduction de la consommation À partir de 0 ° C, la Belgique peut ne plus avoir suffisamment d'excès de gaz pour exporter vers l'Allemagne et les Pays-Bas. La Belgique irait alors à la dernière phase de son plan d'urgence du gaz, au cours de laquelle les autorités peuvent demander à certaines catégories de consommateurs de réduire ou même d'arrêter leur utilisation de gaz. Le cabinet du ministre de l'Énergie Tinne van der Straeten dit qu'il est "bien que l'administration prenne en compte des situations extrêmes, mais que la sécurité de l'approvisionnement est garantie".