Jean Messiha :«Il n'y a plus de «non», parce qu'il n'y a plus de père», à propos de la violence chez les adolescents
  • il y a 2 ans
Pour Jean Messiha, le meurtre de la jeune Emma, tuée par son petit-ami du même âge est caractéristique d'une société qui n'offrirait aucune limite : «Parce que tout simplement il n'y a plus de père. Le mot «non» a disparu».
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