"Ça fait tellement de bien d'être ensemble, de partager nos angoisses et nos combats" : les jeunes r
- il y a 2 ans
Des milliers de lycéens et d'étudiants ont défilé à Paris lors des Fridays for Future, la Journée internationale des grèves convoquée par le mouvement Greta Thunberg, selon les organisateurs.
#Cela #faitbien #retrouver
Des milliers de jeunes manifestent pour le climat place du Panthéon, Paris, le 25 mars 2022. JEANNE FRANK / DIVERGENCE POUR « LE MONDE »
Comme d'habitude, les jeunes manifestants pour le climat ont inondé leurs préoccupations de fantaisie et de sarcasme. "Maman, je travaille comme la terre", "Plus il y a de diplômes, mieux c'est que la bouteille" : Des milliers de lycéens et de lycéens ont sorti leurs pancartes dans une cinquantaine de villes françaises vendredi 25 mars pour dénoncer Un gouvernement "choisi de mettre l'accent sur l'écologie et catastrophes sociales » et a appelé à « une société durable et juste pour tous ».
Ils ont participé à une grève internationale d'une journée pour le climat, lancée vendredi par la militante suédoise Greta Thunberg dans le cadre d'un appel pour l'avenir. Pour la première fois depuis un an dans le pays, la grève se poursuivra samedi.
Garance Bussy, 18 ans, a exprimé ses regrets lors de la marche parisienne qui a réuni 7 000 personnes, selon les organisateurs : "Si on veut éviter la pire catastrophe climatique, maintenant ou jamais, mais on a peur de ne rien faire." "Surtout après le GIEC [ Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat] rapport de février », décrivant les conséquences vertigineuses d'un réchauffement mondial, mais « personne n'en parle. aussi », abonde sa camarade Léopoldine Louis. Dans les bras de ces étudiants en médiation culturelle à la Sorbonne, une pancarte représentant le Titanic indique : « Jack, où est l'iceberg ? »
Lire aussi : Article réservé aux chocs du GIEC sur les conséquences fulgurantes du réchauffement mondial
En conséquence, ces jeunes doivent de toute urgence remettre le climat au centre du débat, éclipsé par deux ans de pandémie, une élection présidentielle centrée sur les préoccupations sécuritaires, et maintenant la guerre en Ukraine.
Tous ont appelé les responsables politiques à s'éloigner de "l'inaction". "C'était pire que ça. Emmanuel Macron n'a rien fait, il a empiré, de son côté, Marie Chureau, 20 ans, titulaire d'une licence franco-allemande en droit Paris Nanterre, est membre du collectif jeunesse climat qui a organisé une marche en France . Si nous voulons limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, nous continuerons à multiplier les projets de prévention climatique à moins de 10 ans de la fin. jeunes manifestes
#Cela #faitbien #retrouver
Des milliers de jeunes manifestent pour le climat place du Panthéon, Paris, le 25 mars 2022. JEANNE FRANK / DIVERGENCE POUR « LE MONDE »
Comme d'habitude, les jeunes manifestants pour le climat ont inondé leurs préoccupations de fantaisie et de sarcasme. "Maman, je travaille comme la terre", "Plus il y a de diplômes, mieux c'est que la bouteille" : Des milliers de lycéens et de lycéens ont sorti leurs pancartes dans une cinquantaine de villes françaises vendredi 25 mars pour dénoncer Un gouvernement "choisi de mettre l'accent sur l'écologie et catastrophes sociales » et a appelé à « une société durable et juste pour tous ».
Ils ont participé à une grève internationale d'une journée pour le climat, lancée vendredi par la militante suédoise Greta Thunberg dans le cadre d'un appel pour l'avenir. Pour la première fois depuis un an dans le pays, la grève se poursuivra samedi.
Garance Bussy, 18 ans, a exprimé ses regrets lors de la marche parisienne qui a réuni 7 000 personnes, selon les organisateurs : "Si on veut éviter la pire catastrophe climatique, maintenant ou jamais, mais on a peur de ne rien faire." "Surtout après le GIEC [ Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat] rapport de février », décrivant les conséquences vertigineuses d'un réchauffement mondial, mais « personne n'en parle. aussi », abonde sa camarade Léopoldine Louis. Dans les bras de ces étudiants en médiation culturelle à la Sorbonne, une pancarte représentant le Titanic indique : « Jack, où est l'iceberg ? »
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En conséquence, ces jeunes doivent de toute urgence remettre le climat au centre du débat, éclipsé par deux ans de pandémie, une élection présidentielle centrée sur les préoccupations sécuritaires, et maintenant la guerre en Ukraine.
Tous ont appelé les responsables politiques à s'éloigner de "l'inaction". "C'était pire que ça. Emmanuel Macron n'a rien fait, il a empiré, de son côté, Marie Chureau, 20 ans, titulaire d'une licence franco-allemande en droit Paris Nanterre, est membre du collectif jeunesse climat qui a organisé une marche en France . Si nous voulons limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, nous continuerons à multiplier les projets de prévention climatique à moins de 10 ans de la fin. jeunes manifestes