Présidentielle : des milliers de manifestants rassemblés à Paris contre l'extrême-droite, des heurts en fin de cortège
- il y a 2 ans
Plus de 3000 manifestants ont défilé à Paris et dans 30 villes de France, samedi 16 avril 2022. Leur mot d’ordre : dire « non à l’extrême droite ». Les participants ont marché pour exprimer leur inquiétude de voir Marine Le Pen accéder à l'Élysée, huit jours avant le second tour de la présidentielle.
Ligue des droits de l'Homme, SOS Racisme, CGT... au total, près de 30 organisations et syndicats ont appelé à manifester. « Contre l'extrême droite, pour la justice et l'égalité. Pas de Le Pen à l'Elysée », prônait la banderole tenue en tête du cortège parisien où Philippe Martinez (CGT) et Dominique Sopo (SOS racisme) étaient notamment présents.
Certains manifestants ont également tenu à affirmer leur regret d’être face à un duel Le Pen/Macron au second tour. « Pour moi aujourd'hui, on peut choisir l'ennemi contre lequel on veut se battre pendant le prochain mandat », explique Olivia, jeune manifestante.
A Paris, la manifestation était considérée comme « à risque » par les autorités. Un important dispositif de sécurité a été mis en place et certains heurts ont éclaté place de la République.
Ligue des droits de l'Homme, SOS Racisme, CGT... au total, près de 30 organisations et syndicats ont appelé à manifester. « Contre l'extrême droite, pour la justice et l'égalité. Pas de Le Pen à l'Elysée », prônait la banderole tenue en tête du cortège parisien où Philippe Martinez (CGT) et Dominique Sopo (SOS racisme) étaient notamment présents.
Certains manifestants ont également tenu à affirmer leur regret d’être face à un duel Le Pen/Macron au second tour. « Pour moi aujourd'hui, on peut choisir l'ennemi contre lequel on veut se battre pendant le prochain mandat », explique Olivia, jeune manifestante.
A Paris, la manifestation était considérée comme « à risque » par les autorités. Un important dispositif de sécurité a été mis en place et certains heurts ont éclaté place de la République.