Pourquoi on va aussi siroter du rosé cet hiver

Pourquoi on va aussi siroter du rosé cet hiver Plus réservé aux longues soirées d’été, le verre de rosé se sirote aussi, aux pieds des pistes ou près d’un feu de cheminée. Evoquant la douceur de vivre et la vie cool, le rosé de Provence bénéficie d’un fort engouement. Ainsi, les Vignerons de la presqu’île de Saint-Tropez ont parié il y a dix ans... sur la production d’un rosé d’hiver. Un rosé primeur d’un nouveau genre, à base de cinsault, de grenache et de syrah... et qui présente un profil aromatique plus intense que le rosé d’été. Ce qui change ? des grains plus aromatiques et des délais de macération plus courts. Une autre différence ? Les vendanges pratiquées de nuit garantiraient « la fraîcheur des grains ». Jeune, frais et très fruité, le rosé d’hiver serait très apprécié des millénials. Alors que 83% des 18/49 ans déclarent consommer du rosé en hiver à l’apéritif, que 62 % des Français considèrent que l’on peut boire du rosé toute l’année, et que 74% des consommateurs de vin certifient boire du rosé en hiver... le rosé d'hiver ferait-il bientôt de l’ombre au verre de vin chaud ? L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.