Gérald Kierzek “beau gosse” : comment il s’est imposé à la télé
- il y a 2 ans
Gérald Kierzek “beau gosse” : comment il s’est imposé à la télé
Même s'opposer à Olivier Véran, via Twitter, ne lui fait pas peur. Depuis le début de la pandémie, Gérald Kierzek fait grand bruit. Comme d'autres de ses confrères, à l'instar de Martin Blachier ou encore Gilles Pialoux, il est l'un des visages de cette crise. Mais à leur différence, lui a fait ses marques dans les médias depuis plus longtemps. Et comme il aime le rappeler, l'"urgentiste de l'info" y sera après. Mais comment sa relation avec les médias a-t-elle démarré ? La revue des médias est revenue le lundi 14 février sur les débuts de ce "beau gosse" qui s'est imposé à la télé.Sa première apparition à l’écran remonte à l’été 2003, alors que la canicule frappe l'Hexagone le week-end du 15 août. TF1 se rend à l’Hôtel-Dieu, où une partie du personnel "a accepté d’écourter ses vacances". C’est le cas de Gérald Kierzek, jeune chef de clinique assistant. "Il a des mèches sculptées au gel et le regard un peu fuyant, écrivent nos confrères. Gérald Kierzek est encore timide." À cette époque, il n'a que 29 ans. Après un nouveau bref passage en janvier 2004, dans le 19/20 de France 3, c'est le 18 avril de la même année que vient son moment de gloire. Découvrez le diaporama : "Martin Blachier, Didier Raoult, Gérald Kierzek... Ces médecins et spécialistes santé qui ont marqué la crise sanitaire"Alors que le 20 Heures de France 2 propose une page médecine à l'occasion du congrès des anesthésistes, un portrait de "Gérald" est alors lancé par Béatrice Shönberg. Pendant le tournage, les camarades du médecin n'hésitent pas à charrier "le beau gosse", lui qui semble alors aussi à l'aise que s'il avait reçu un media training. La chaîne a alors trouvé "un bon client" en sa personne. Et l'urgentiste, lui, a réalisé qu'il adore ça. Ce n'est alors que le début pour ce fan de Michel Cymes, qui se rêve désormais aussi médecin de Koh-Lanta.
Même s'opposer à Olivier Véran, via Twitter, ne lui fait pas peur. Depuis le début de la pandémie, Gérald Kierzek fait grand bruit. Comme d'autres de ses confrères, à l'instar de Martin Blachier ou encore Gilles Pialoux, il est l'un des visages de cette crise. Mais à leur différence, lui a fait ses marques dans les médias depuis plus longtemps. Et comme il aime le rappeler, l'"urgentiste de l'info" y sera après. Mais comment sa relation avec les médias a-t-elle démarré ? La revue des médias est revenue le lundi 14 février sur les débuts de ce "beau gosse" qui s'est imposé à la télé.Sa première apparition à l’écran remonte à l’été 2003, alors que la canicule frappe l'Hexagone le week-end du 15 août. TF1 se rend à l’Hôtel-Dieu, où une partie du personnel "a accepté d’écourter ses vacances". C’est le cas de Gérald Kierzek, jeune chef de clinique assistant. "Il a des mèches sculptées au gel et le regard un peu fuyant, écrivent nos confrères. Gérald Kierzek est encore timide." À cette époque, il n'a que 29 ans. Après un nouveau bref passage en janvier 2004, dans le 19/20 de France 3, c'est le 18 avril de la même année que vient son moment de gloire. Découvrez le diaporama : "Martin Blachier, Didier Raoult, Gérald Kierzek... Ces médecins et spécialistes santé qui ont marqué la crise sanitaire"Alors que le 20 Heures de France 2 propose une page médecine à l'occasion du congrès des anesthésistes, un portrait de "Gérald" est alors lancé par Béatrice Shönberg. Pendant le tournage, les camarades du médecin n'hésitent pas à charrier "le beau gosse", lui qui semble alors aussi à l'aise que s'il avait reçu un media training. La chaîne a alors trouvé "un bon client" en sa personne. Et l'urgentiste, lui, a réalisé qu'il adore ça. Ce n'est alors que le début pour ce fan de Michel Cymes, qui se rêve désormais aussi médecin de Koh-Lanta.