Quelle sûreté nucléaire pour la France ?
  • il y a 3 ans
Le 7 avril, le Sénat auditionnait Bernard Doroszczuk, président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Il a notamment pointé du doigt l’affaiblissement des compétences françaises dans le domaine du nucléaire. Le chantier de l’EPR de Flamanville en est un bon exemple : en 2018, l'ASN avait déjà identifié la nécessité de certaines réparations, pour lesquelles elle a donné son feu vert en mars 2021. Depuis, de nouvelles malformations ont été détectées et viennent mettre à mal l'objectif de démarrage de l'EPR de Flamanville en 2022 car "il n'y a plus de marge". A ce manque de compétences s'ajoute selon lui une incapacité à prendre les bonnes décisions au bon moment, notamment sur les déchets nucléaires.

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