Laurent Batlles face à l'Est éclair
- il y a 3 ans
Laurent Batlles face à l’Est éclair
A neuf ou huit matches de la fin de saison,
Le coach de l’Estac se livre
J’ai trouvé les joueurs avec une grosse envie de bosser. Aux entraînements, il y a du rythme, de l’intensité.
On analyse les choses, mais je m’attelle à montrer aux joueurs que ce qu’on a fait nous permet de gagner
La réflexion porte sur la valeur offensive des gens. Mais pas sur le plan tactique.
Il faut rester terre à terre. J’ai mon projet de jeu.
On n’est pas formaté pour être premier. On a le neuvième budget de Ligue 2.
Moi je veux bien jouer et surtout faire mal à l’adversaire
Depuis le début de la saison, on était sur une moyenne de deux points par match.
On a aujourd’hui une identité de jeu comme il y a eu à Troyes avec Perrin et Furlan.
La réussite de l’Estac, c’est celle de tout un club. On ne peut pas tout faire tout seul.
A neuf ou huit matches de la fin de saison,
Le coach de l’Estac se livre
J’ai trouvé les joueurs avec une grosse envie de bosser. Aux entraînements, il y a du rythme, de l’intensité.
On analyse les choses, mais je m’attelle à montrer aux joueurs que ce qu’on a fait nous permet de gagner
La réflexion porte sur la valeur offensive des gens. Mais pas sur le plan tactique.
Il faut rester terre à terre. J’ai mon projet de jeu.
On n’est pas formaté pour être premier. On a le neuvième budget de Ligue 2.
Moi je veux bien jouer et surtout faire mal à l’adversaire
Depuis le début de la saison, on était sur une moyenne de deux points par match.
On a aujourd’hui une identité de jeu comme il y a eu à Troyes avec Perrin et Furlan.
La réussite de l’Estac, c’est celle de tout un club. On ne peut pas tout faire tout seul.