soeur Sourire - luc dominique

  • il y a 15 ans
En contrat avec sa maison de disques, depuis qu’elle a quitté les ordres, il lui est interdit d'utiliser le pseudonyme qui l'avait rendue célèbre. C'est sous le nom de Luc Dominique que Jeanine tente de poursuivre sa carrière. Elle écrit à cette époque des titres plutôt musclés par lesquels elle s'en prend aux mères, aux hommes, à l'Église catholique et au conservatisme. Elle se passionne pour les nouvelles approches de la théologie (entre Vatican II et Mai 1968), cherche à inventer pour elle-même et pour sa compagne une nouvelle voie religieuse, qui se situe entre la vie régulière et la vie séculière. Elle refuse par ailleurs à l'époque de se considérer comme homosexuelle.

D’après d’autres sources qui ont fait l’objet d’une traduction « maison », on peut ajouter que cette chanson a été écrite lorsque Jeanine quitta le couvent pour poursuivre sa carrière de chanteuse. Elle dû effectivement signer un contrat qui stipule qu'elle n'était pas autorisé à utiliser le nom de Soeur Sourire y compris sous toutes ces traductions. Jeanine, heureuse de partir, signe « bêtement ». Et pris alors un nouveau nom "Luc Dominique".
Quelques années plus tard, alors que sa carrière ne décolle pas, elle retourne plaider sa cause auprès de ces sœurs, afin de l’autoriser à reprendre son nom de Soeur Sourire.
Ces ordres lui font alors signer un second document, qui l’autorise certes à utiliser de nouveau son nom, mais qui contient une close qui stipule cette fois, qu’elle ne tiendra responsable le couvent pour les événements passés et futurs… Le gouvernement ne tarde pas alors à lui faire parvenir la dette d’impôt…