SOUMOUNGNI2. MAR 1 12 2020
- il y a 3 ans
GG DU 30 NOVEMBRE 2020
A BROSSER
CRIME ODIEUX A COYAH : QU’EN EST IL DES CORPS D’ALBINOS RETROUVES ?
PRETENDU DETOURNEMENT DES 200 MILLIARDS : LES DERNIERS DEVELOPPEMENT
TITRES
LES MISSIONS D’OBSERVATION ELECTORALE FACE A UNE DEMOCRATIE EN BALBUTIEMENT
SUJET 1 :
Les élections en Afrique et le rôle des missions d’observation électorales. Au moment où l’organisation des scrutins ne permet pas encore l’alternance, la présence des missions de l’union africaine, de la CEDEAO et maintenant des organisations de la société civile du continent, est une onction pour un processus qui devrait être de tous. Et quelques soient leurs dénominations, elles finissent toujours par produire des rapports accepté qui ne remettent pas en cause la crédibilité et la sincérité du vote. Et même si elles reconnaissent leur caractère souvent non inclusif, elles ne partent jamais au-delà des recommandations qui ont pour seul objectif de préparer les prochaines échéances. Pour une certaine opinion et non la moindre, les missions d’observation électorale, sont loin d’être une contribution à la consolidation des principes démocratiques dans nos pays. Quel rôle devrait-on leur assigner désormais ? Et comment les rendre plus utiles dans un processus électoral parfois conflictogène ? L’ancien Premier ministre guinéen de la transition, rentre d’une mission d’observation au Burkina Faso, il analyse ce sujet avec nous à partir de son expérience.
REPONDANT : KABINE KOMARA / ANICNE PM DE GUINEE-CHEF DE LA MISSION DE LA CEDEAO AU BF
A BROSSER
CRIME ODIEUX A COYAH : QU’EN EST IL DES CORPS D’ALBINOS RETROUVES ?
PRETENDU DETOURNEMENT DES 200 MILLIARDS : LES DERNIERS DEVELOPPEMENT
TITRES
LES MISSIONS D’OBSERVATION ELECTORALE FACE A UNE DEMOCRATIE EN BALBUTIEMENT
SUJET 1 :
Les élections en Afrique et le rôle des missions d’observation électorales. Au moment où l’organisation des scrutins ne permet pas encore l’alternance, la présence des missions de l’union africaine, de la CEDEAO et maintenant des organisations de la société civile du continent, est une onction pour un processus qui devrait être de tous. Et quelques soient leurs dénominations, elles finissent toujours par produire des rapports accepté qui ne remettent pas en cause la crédibilité et la sincérité du vote. Et même si elles reconnaissent leur caractère souvent non inclusif, elles ne partent jamais au-delà des recommandations qui ont pour seul objectif de préparer les prochaines échéances. Pour une certaine opinion et non la moindre, les missions d’observation électorale, sont loin d’être une contribution à la consolidation des principes démocratiques dans nos pays. Quel rôle devrait-on leur assigner désormais ? Et comment les rendre plus utiles dans un processus électoral parfois conflictogène ? L’ancien Premier ministre guinéen de la transition, rentre d’une mission d’observation au Burkina Faso, il analyse ce sujet avec nous à partir de son expérience.
REPONDANT : KABINE KOMARA / ANICNE PM DE GUINEE-CHEF DE LA MISSION DE LA CEDEAO AU BF