Génocide au Congo: Un silence de plomb
- il y a 3 ans
La République Démocratique du Congo est actuellement en train de vivre le quatrième génocide de son histoire.
Pourtant ce crime contre l'humanité est passé sous silence médiatique.
Le Congo est l'un des plus grands pays possédant des ressources minières, principalement des mines de Coltan.
Ces ressources, très convoitées, pourraient être dépendantes de leur pays d'origine mais cela ne semble pas plaire à tout le monde.
Les ressources seraient une des causes de ce génocide qui s'aggrave de jour en jour.
Mais il y a également les conflits avec les groupes armés d'origine Rwandaise, les Forces Démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) qui perdurent depuis le génocide de la guerre ethnique provoquée en 1994 par Paul Kagamé.
Les violations des droits de l'Homme sont perpétués à travers les actes de combats, massacres, purifications ethniques...
Le nombre de morts se compterait en plusieurs millions de personnes.
Mais malgré ça les grandes instances internationales restent silencieuses sur le sujet.
Des mobilisations se font ici en France mais également à l'international, sur les réseaux sociaux, sur lesquelles les personnes relaient les informations en masse en espérant une réaction des instances internationales.
Des hashtags comme #GenocideCongo ou #CongoIsBleeding ont été lancés pour que la visibilité sur ce crime contre l'humanité soit augmentée et le sujet ne soit plus ignoré.
Pourtant ce crime contre l'humanité est passé sous silence médiatique.
Le Congo est l'un des plus grands pays possédant des ressources minières, principalement des mines de Coltan.
Ces ressources, très convoitées, pourraient être dépendantes de leur pays d'origine mais cela ne semble pas plaire à tout le monde.
Les ressources seraient une des causes de ce génocide qui s'aggrave de jour en jour.
Mais il y a également les conflits avec les groupes armés d'origine Rwandaise, les Forces Démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) qui perdurent depuis le génocide de la guerre ethnique provoquée en 1994 par Paul Kagamé.
Les violations des droits de l'Homme sont perpétués à travers les actes de combats, massacres, purifications ethniques...
Le nombre de morts se compterait en plusieurs millions de personnes.
Mais malgré ça les grandes instances internationales restent silencieuses sur le sujet.
Des mobilisations se font ici en France mais également à l'international, sur les réseaux sociaux, sur lesquelles les personnes relaient les informations en masse en espérant une réaction des instances internationales.
Des hashtags comme #GenocideCongo ou #CongoIsBleeding ont été lancés pour que la visibilité sur ce crime contre l'humanité soit augmentée et le sujet ne soit plus ignoré.