Mis en demeure par la Direction Départementale de Protection des Population, critiqué et mise en cause par la famille Thomas, le collectif REWILD restait jusqu'à présent silencieux. A part une publication sur le réseau social Facebook, en réponse à la publication du Télégramme, peu ou pas de réactions jusqu'à aujourd'hui où REWILD a accepté de nous ouvrir ses portes et de répondre à nos questions.
Jérôme Pensu, le directeur du centre réhabilitation, en convient, "ils n'ont pas été très bons dans la communication ces dernièrs mois". Nous avons pu leur poser toutes les questions, permettre au directeur de la DDPP et à Véronique Thomas (ancienne directrice et propriétaire des terrains) d'apporter leur point de vue. Affaire à suivre...