Michel Wieviorka : "Malheureusement les mots excessifs fonctionnent mieux que les mots nuancés et complexes"

Michel Wieviorka : "Malheureusement les mots forts et excessifs fonctionnent mieux que les mots nuancés et compliqués […] Les réseaux sociaux peuvent être des outils merveilleux, mais on y trouve aussi des discours de haine : c’est les deux à la fois"

Pierre-Henri Tavoillot, philosophe : "La logique d'hyperexposition des oppositions, de l'agressivité, des mots excessifs (...) produit une tension, une incertitude sur notre envie de vivre en commun : c'est un peu dangereux."

Michel Serres sur la féminisation des mots : "Le problème est plus simple qu'on ne le pense : il y a en français des mots épicènes, qui ont les deux genres, et il y en a beaucoup plus qu'on croit"

Muriel Pénicaud, ministre du Travail : "En France, on a un recours excessifs aux contrats courts. (...) Les modalités sont encore en cours de discussions, mais le principe [du bonus-malus pour les entreprises] est acquis"

Michel Wieviorka : "On voit monter des problèmes que la démocratie ne sait pas traiter. Mais c’est le seul système qui permet de parler à la fois au nom d’une unité et de la diversité."

Michel Wieviorka : "Il y a des interprétations différentes de la République qui sont proposées"

Michel Wieviorka : "Ce qui est réel, depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, c’est la destructuration de tout ce qui peut intervenir entre le pouvoir et la société […] on écoute le moins possible les institutions"

Laurent Berger : ""Le mot me révulse : "ensauvagement", ça voudrait dire qu'il y ait des sauvages. Gérald Darmanin est trop intelligent pour ne pas maîtriser ses mots, je me dis que ce mot a été utilisé parce qu'il avait un intérêt pour eux."

Michel Wieviorka : "La démocratie va mal, mais rien n’interdit de penser, ni d’agir de façon à ce qu’elle aille mieux"

Michel Wieviorka : "On a besoin des médias, mais parfois ça va trop fort et trop vite"

Michel Wieviorka : "Ceux qui dénoncent l'islamo-gauchisme l'installent dans une sorte de nébuleuse"

Michel Wieviorka et les "gilets jaunes" : "le grand drame c'est un retour de la légitimité de la violence"

Michel Wieviorka : "Quand vous gagnez 4000 ou 5000 euros par mois, que vous êtes directeur de recherches ou d’études, vous n'êtes pas un gilet jaune ; mais les sciences sociales doivent étudier ces phénomènes et travailler avec ses acteurs"

Michel Wieviorka : "Si la police en fait trop dans la maintien de l’ordre, qu’elle utilise des armes qu’elle ne doit pas utiliser, alors la légitimité de l'État à avoir le monopole de la violence s’affaiblit"

Michel Rocard : "L'emballement symbolique sur la déchéance de nationalité me paraît excessif"

Michel Barnier est l'invité de Nicolas Demorand

Jean-Michel Blanquer répond aux questions de Nicolas Demorand

Jean-Michel Blanquer est l'invité de Nicolas Demorand

Kisdé - Les mots du Rap

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