La vie rêvée des 25/35 ans au détriment de la vie active
- il y a 4 ans
Au sein d’une génération à laquelle l’allongement des études a promis un emploi passionnant, la vie active ne semble pourtant pas toujours tenir ses promesses.
Il a été remarqué que de plus en plus de jeunes issus de tous les domaines d'activité, refusent de se conformer aux règles d'un boulot, et mettent tout en oeuvre pour les contourner.
Qu'ils soient perçus comme paresseux, rebelles ou marginaux, ces derniers prônent simplement le fait de se contenter du strict minimum au profit d'une meilleure vie, d'un épanouissement personnel, d'une bonne santé mentale.
En effet, ils défendent que toutes ces années d'études n'aboutissent qu'à peu de choses, et que l'envie constante d'ailleurs, de renouveau, finit toujours par prendre le dessus.
Ainsi ruser avec les codes du travail pour mieux le fuir est devenu leur objectif !
Mais la question financière se pose alors et vient constituer un véritable frein à ce désir de changement, entraînant ainsi une démotivation et des frustrations à grande échelle.
Notre modèle actuel serait-il alors à bout de souffle ?!
Il a été remarqué que de plus en plus de jeunes issus de tous les domaines d'activité, refusent de se conformer aux règles d'un boulot, et mettent tout en oeuvre pour les contourner.
Qu'ils soient perçus comme paresseux, rebelles ou marginaux, ces derniers prônent simplement le fait de se contenter du strict minimum au profit d'une meilleure vie, d'un épanouissement personnel, d'une bonne santé mentale.
En effet, ils défendent que toutes ces années d'études n'aboutissent qu'à peu de choses, et que l'envie constante d'ailleurs, de renouveau, finit toujours par prendre le dessus.
Ainsi ruser avec les codes du travail pour mieux le fuir est devenu leur objectif !
Mais la question financière se pose alors et vient constituer un véritable frein à ce désir de changement, entraînant ainsi une démotivation et des frustrations à grande échelle.
Notre modèle actuel serait-il alors à bout de souffle ?!