L'État admet être le premier responsable de la pollution au chlordécone aux Antilles

  • il y a 4 ans
L’État a admis ses responsabilités quant à la pollution au chlordécone aux Antilles.

C’est l’État qui a autorisé l’utilisation de ce produit hautement toxique entre 1972 et 1993.

Pour les anciens dirigeants, le chlordécone a représenté la solution idéale pour protéger les plantations.

Ce manque de conscience a désormais des conséquences déplorables.

Le chlordécone a généré de nombreux problèmes de santé sur les populations locales.

Un fonds d’indemnisation a été mis en place pour pour venir en aide aux malades.

De l'argent sera investi pour financer de nouvelles recherches sur le chlordécone.

Par ailleurs, de nouveaux plans pour résoudre le problème du chlordécone sont prévus pour 2020.

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