Meteor : "croire, c'est pouvoir"

"L'envie des dirigeants d'entreprise d'investir et de croire en l'avenir est une excellente nouvelle pour notre économie", Gilles Bonnenfant - 10/01

Ariane Chemin : "Les chefs d'entreprise ne juraient que par Didier Raoult, parce qu'il y avait ceux qui voulaient que l'économie redémarre. Tout le monde veut croire à la chloroquine, à ce moment-là."

Dominique Reynié : "Le populisme est une entreprise politique, c'est une technique de conservation du pouvoir ou de prise du pouvoir"

"La priorité, c’est l’emploi, c’est le redémarrage de l’économie, des usines qui ouvrent, des entreprises qui investissent, des Français qui consomment" (Bruno Le Maire)

Pour le gouverneur de la Banque de France, "une des réformes clé probablement, c’est tout ce qui touche à la formation. (…) Le premier limitateur de vitesse aujourd’hui de l’économie française, c’est les difficultés de recrutement des entreprises"

Guillaume Pepy, président du Réseau associatif Initiative France : "il faut un peu y croire, l’économie c’est aussi du mental"

Guillaume Pepy : "il faut un peu y croire, l’économie c’est aussi du mental"

Michel-Édouard Leclerc: "Croire que l'économie française va être à l'abri de cette inflation mondiale, c'est une erreur"

Tour de France 2020 - Christophe Riblon : "C'est un peu utopique de croire que le Tour de France va pouvoir se faire... "

Seriez-vous prêt à relever le défi de prendre trois semaines de vacances ? Le but, lorsque vous montez une entreprise, c’est, à terme, de pouvoir augmenter vo

« C’est incroyable de pouvoir traiter une des plus grosses entreprises françaises de cette façon »

Xavier Niel : "Station F c'est toute l'idée de transformer Paris en l'endroit dans lequel on va pouvoir créer son entreprise."

Bruno Le Maire, ministre de l'Économie : ""Lorsque l'état apporte une aide directe, l'entreprise ne peut pas verser de dividendes, c'est une règle de justice""

Crèches privées: "C'est un manque de contrôle des pouvoirs publics qui laisse ces entreprises peu regardantes faire n'importe quoi", pour Charles Consigny (@CharlesConsigny)

Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances : "J'encourage les entreprises à se déclarer en activité partielle. Je pense que c'est aujourd'hui la solution la plus efficace."

Geoffroy Roux de Bézieux : "Ce qui compte, c'est que les mesures aillent vite, que ça descende vite jusqu'aux entreprise (...). Par contre, il faut arriver à ce qu'on ne sacrifie pas l'économie. On ne peut pas se permettre un deuxième confinement."

Frédéric Roy : "Je ne vais pas pouvoir payer mes factures d’électricité. On va devoir fermer… Je n’aurai plus rien. Mon entreprise, c’est l’investissement d’une vie"

Philippe Etchebest : "La base c'est de savoir comment on va pouvoir faire vivre toutes ces entreprises pendant ces mois de non-ouverture. Avant de se poser la question de la réouverture, il faut se poser celle de la survie"

Florence Parly : "La dette, c'est la contrepartie des aides massives que nous avons injectées dans l'économie pour que les entreprises tiennent, pour que les emplois ne disparaissent pas. Nous n'avions pas le choix."

«L’économie de guerre, c’est produire plus et plus vite» : les entreprises françaises de la défense en ordre de bataille

Musée BASSAM-Royauté en pays AKAN

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Volley-ball : l’ASPTT Mulhouse a retrouvé son public

Sondersdorf : nettoyage de printemps pour le site du Muehlengrund

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