L'enquête progresse sur les accusations de trois plaignantes françaises contre Tariq Ramadan. Une contre-expertise technique vient de contredire la version de l'une des plaignantes. Après sa plainte, Chrystelle avait retrouvé des SMS échangés avec l'islamologue. 255 messages, retrouvés sur un vieux portable, tronqués et dans le désordre. Elle affirmait en avoir envoyés certains avant le viol qu'elle dénonce. Mais une expertise vient de montrer le contraire : ils dateraient des 10 et 11 octobre 2009, soit le lendemain et surlendemain des faits dénoncés. Pour l'avocat de Tariq Ramadan, "toute l’accusation s’écroule définitivement". L'avocat de la plaignante estime de son côté que ces messages "ne changent rien". Informations Europe 1 de Salomé Legrand