Yves Veyrier, sur les retraites : "Bien sûr qu'il y a des choses qui doivent être améliorées. Mais ce n'est pas le système actuel qui est en cause, ce sont les politiques économiques"

Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Tout ce qui fait que la crise n'est pas contenue aura des conséquences sanitaires et des conséquences économiques. Plus on maîtrise les conséquences sanitaires, moins on aura de conséquences économiques."

"En voulant effacer tout ce qui existe entre l'exécutif actuel et le RN, on ouvre la voie à quelque chose d'improbable, qui est l'élection de madame Le Pen" (Michel Barnier)

Xavier Bertrand : "Je veux que l'État soit fort (...), mais je ne veux plus que ce soit à Paris que se gèrent les politiques économiques, les politiques de logement, de santé, de transport. C'est la seule façon d'être demain efficaces."

Brit Bennett : "Une des choses qui m'ont intéressée, c'est qu'est-ce qui fait qu'on est blanc, qu'est-ce qui fait qu'on est noir, comment on peut passer de l'un à l'autre selon comment on se définit."

Laurent Berger : “Je ne crois pas que le système à points soit parfait et merveilleux, mais je ne crois pas que le système actuel le soit non plus ; ce qui compte c’est ce qu’on fait à l’intérieur [de ces systèmes]”

Alexis Michalik : qu'est-ce qui est vrai et qu'est-ce qui ne l'est pas dans sa pièce Edmond ?

Edwy Plenel : "Le premier adversaire, ce sont les pouvoirs politiques et économiques (...) Nous sommes face à une presse subventionnée comme jamais"

Yves Veyrier (FO) : "Même réussie, une journée ne suffit pas. Beaucoup de manifestants qui se sont associés au mouvement viennent du secteur privé. L'adhésion la plus large sera la force de ce mouvement"

Delphine Batho : "Nous avons en France des femmes qui subissent la pression pour porter le voile dans les cités. Je considère que ces femmes doivent être protégées de ces pressions."

Najat Vallaud-Belkacem : "Ce qui me dérange par le discours actuel porté par le ministre de l'Éducation, c'est qu'on a l'impression qu'on met toute la culpabilisation sur le corps des femmes, une fois de plus."

Pierre-Henri Tavoillot : "La guerre de Sécession est une blessure qui n'est pas encore totalement guérie et qui ressurgit parfois. Les populistes considèrent qu'il y a un peuple pur et que ce peuple est scindé en deux."

Jean-François Delfraissy : "Il fallait que les gens vivent, il faut continuer à vivre, sortir de ce coronavirus. Mais il faut vivre avec des mesures de distanciation. On est dans une situation en France qui est contrôlée mais qui est fragile."

Adrien Quatennens : "Plus que le casting, la question posée au fond c’est celle des politiques menées. Madame von der Leyen prépare l'Europe de la défense, qui est le seul projet que nous proposent les tenants actuels pour réenchanter l'Europe."

Karine Lacombe : "C'est un confinement moins strict que ce que l'on aurait pu penser, un bon compromis entre les contraintes sanitaires et les contraintes sociales et économiques, qui permet de garder une vie sociale relativement correcte."

Ségolène Royal : "Ce qui est en jeu c'est de jeter le discrédit sur des activités bénévoles et sur ma fondation. Ce journaliste a fait lire sur votre antenne une actrice qui a lu un faux témoignage."

Michel Wieviorka : "Ce qui est réel, depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, c’est la destructuration de tout ce qui peut intervenir entre le pouvoir et la société […] on écoute le moins possible les institutions"

Hervé Juvin : "Ce n'est pas le Front national, aujourd'hui le Rassemblement national, qui a changé, c'est l'Europe qui est en train de changer"

Michel Duclos : "Pour Assad, chaque jour qui passe est une victoire : pour lui, ce qui est important de tenir le plus longtemps possible"

Christiane Taubira, sur l'inquiétude des acteurs économiques : "Il y a de vieux réflexes qui sont là, alors qu’on ne va pas sortir de cette épreuve dans l’état dans lequel on y est entrés"

Jean-Louis Bourlanges : "Ce qui se passe à LR est d’une extrême gravité. Ce parti est en train d’imploser. Vous avez, au sein de la droite traditionnelle, des gens très fortement tentés par l’extrême droite"

Retraites : "Pas de compromis possible sur un recul de l’âge de départ", affirme Yves Veyrier.

Manifestations du 1er mai : "des violences inacceptables"

Yves Veyrier (FO): "Si on ne nous entend pas, on se bagarrera pour empêcher le recul de l'âge de départ à la retraite"

Yves Veyrier (Force Ouvrière) : Réforme de l'assurance-chômage, qu'est-ce qui change ? - 01/12

SMART JOB - Grand Entretien du mercredi 24 novembre 2021

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