Société Générale, Carrefour... la rupture conventionnelle collective (RCC), un dispositif controversé

Nouvelle cure d’austérité à la Société générale. La  banque a indiqué aux organisations syndicales sa volonté de supprimer 1 600 postes dans le monde, dont environ 700 en France, particulièrement dans sa banque de financement et d’investissement (BFI).

Cette réduction d’effectifs doit s’opérer dans le cadre d’une rupture conventionnelle collective (RCC), c’est-à-dire via des départs volontaires. Mis en place par les « ordonnances Macron » réformant le Code du travail, ce dispositif interroge et suscite la controverse.