Grand débat : climat tendu en Corse avant l'arrivée d'Emmanuel Macron
- il y a 5 ans
Huit escadrons de la gendarmerie et 400 gardes mobiles ont été déployés avant l'arrivée d'Emmanuel Macron en Corse ce jeudi 4 avril, pour débattre avec les élus insulaires dans le cadre du Grand débat national.
Boycotté par des élus de la majorité nationaliste, la visite du Président se déroulera sous haute-sécurité. Si Emmanuel Macron s'est dit «prêt à apporter ma part de réponses de manière concrète». Interrogé dans Corse Matin, le chef d'Etat avait également déclaré : «Je pense qu’on peut défendre l’identité de la Corse et respecter profondément la République et ses valeurs», et confirmait par la même occasion l'inscription de la Corse dans la Constitution.
Lundi, deux charges explosives avaient été découvertes à Bastia, près de centres d'impôts. Le parquet antiterroriste s'est depuis saisi de l'enquête.
Boycotté par des élus de la majorité nationaliste, la visite du Président se déroulera sous haute-sécurité. Si Emmanuel Macron s'est dit «prêt à apporter ma part de réponses de manière concrète». Interrogé dans Corse Matin, le chef d'Etat avait également déclaré : «Je pense qu’on peut défendre l’identité de la Corse et respecter profondément la République et ses valeurs», et confirmait par la même occasion l'inscription de la Corse dans la Constitution.
Lundi, deux charges explosives avaient été découvertes à Bastia, près de centres d'impôts. Le parquet antiterroriste s'est depuis saisi de l'enquête.