Elisabeth de Fontenay est l'invitée d'Ali Baddou

Elisabeth de Fontenay : "Je pense qu'on peut être militant politique et ne pas croire qu'on va quelque part et que ce quelque part est meilleur."

Elisabeth Borne, ministre des Transports, est l'invitée d'Ali Baddou

Mathilde Imer : "Ce qui m'a confortée dans le fait de lancer cette convention citoyenne pour le climat c'est d'entendre une gilet jaune me dire 'je voudrais être écolo mais je peux pas. J'ai trois enfants, le poulet Lidl, je peux pas m'en passer"

Britt Bennett, romancière américaine : "Je ne peux pas vous dire que je suis tombée raide dingue de Joe Biden. La première fois que j'ai voté aux présidentielles c'était pour Obama, je ne peux pas vous dire que j'ai le même enthousiasme."

Elisabeth de Fontenay : "Je suis sur une position féministe universaliste non-communautariste."

Élisabeth de Fontenay : "J'ai toujours lutté contre cette manière de privilégier l'excellence au détriment de tous les autres"

Elisabeth de Fontenay : "En apparence, le handicap est un mot respectueux de l'infirmité, mais c'est un mot tellement général, tellement vague, tellement brutal"

Jeanne Balibar : "Il y a encore beaucoup de choses qu'on ne peut pas dire. Je ne peux pas tout vous dire sur cette question : ce serait trop dangereux pour moi, il n'y a pas de position de puissance pour une actrice dans le cinéma."

Olivier Véran, ministre de de la Santé : "Il est de ma responsabilité de toujours envisager le scénario le plus dur. Je ne peux pas fonder des hypothèses sur une idée absolument pas démontrée selon laquelle le virus n'aimerait pas le printemps ou l'été."

Élisabeth Borne : "Quand vous n'habitez pas dans une grande ville, non seulement vous n'avez pas d'autre choix que la voiture, mais en plus votre employeur ne vous aide pas"

Olivier Rousteing : "La caméra m’a obligé à ne pas céder, à ne pas lâcher, à ne pas partir. C’était comme un pacte fait avec moi-même, d’aller jusqu’au bout, pour tous les enfants nés sous X. (...) Rien n’a été censuré, le pacte c’était l’authenticité."

Alexis Corbière : "Elisabeth Borne est totalement disqualifiée" et "doit partir"

Jean-Michel Blanquer : "Nous nous organisons pour qu'il n'y ait pas de pénurie d'enseignants. Je ne peux pas garantir que tout soit parfait : si l'objectif c'est de reconnaitre que les choses sont parfois imparfaites, je le reconnais."

Laurent Berger : "Je reste en désaccord sur le fond, sur un certain nombre de sujets, et en même temps, je ne peux pas dire qu'on n'a pas noté une volonté de dialogue et d'ouverture"

"Rien n’est impossible finalement quand on voit mon parcours : on se rend compte qu’on peut partir de rien et arriver à quelque chose"(Élisabeth Moreno)

Élisabeth Borne : "Notre engagement écologique n’a pas été suffisamment visible sans doute pas suffisamment convaincant. Il faut sans doute accélérer."

Elisabeth Borne sur l'accord avec le Mercosur : "Si la France ne signe pas, le processus ne peut pas continuer"

Élisabeth Moreno : "En termes d'actes, on ne peut pas dire que la France ne progresse pas : il y a des pays qui avancent comme jamais"

Élisabeth Borne : "Il n'y a pas un demandeur d'emploi dont l'allocation va baisser au 1er juillet, la réforme n'est pas rétroactive"

Élisabeth de Fontenay signe « Gaspard de la nuit »

Alain Finkielkraut face à Ruth Elkrief

Marie Duru-Bellat et Passeron sont les invités du 13h

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