Gérard Larcher : "On a eu 'balance ton maire', puis 'accroche-toi à ton maire' : et si on se faisait confiance, plutôt que de balancer ce genre de formules ?"

Gérard Larcher : "Il nous reste huit mois. Il n'y aura pas les grandes réformes, qui n'ont pas été faites. Ce qui n'a pas été fait en quatre ans ne sera pas fait en huit mois."

Gérard Larcher : "Je suis plutôt favorable à l'obligation vaccinale pour les policiers, ce n'est pas possible que les policiers qui contrôlent dans une brasserie ne soient pas eux-mêmes porteurs d'un pass sanitaire."

Ehpad : "Il y a aussi le sentiment d’abandon et de coupure, qui est un autre virus humain terrible aussi pour nos aînés" (Gérard Larcher)

Gérard Larcher : "Le maillon de la République qui tient, c'est l'élu local"

Gérard Larcher : "Il faut une opposition qui ne soit pas cantonnée dans les populismes "

Gérard Larcher, president du Sénat : "C'est quand même 36 mois qui ne sont guère brillants depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron"

Gérard Larcher : "Emmanuel Macron n'est pas quelqu'un qui peut incarner les valeurs de la droite et du centre."

Gérard Larcher sur la réduction du nombre de parlementaires : "Il n'est pas question qu’il y ait plus de 20 départements ou collectivités qui aient un seul député ou un seul sénateur"

Gérard Larcher : "Sur le projet de loi sur le séparatisme, il sera intéressant d'avoir l'avis du Conseil d'Etat - ce qui n'a pas été le cas de la proposition de loi sur la sécurité globale."

Gérard Larcher, sur la réforme des retraites : "La question qui est posée dans tous les pays, quel que soit le système, c’est l’âge de départ. À force de ne jamais vouloir prononcer ces mots, on raconte des craques aux Français"

Gérard Larcher : "C'est quand même 36 mois qui ne sont guère brillants depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron"

Gérard Larcher : "Il faut une opposition qui ne soit pas cantonnée dans les populismes."

Gérard Larcher : "Les valeurs de la France, c'est être aux côtés de ceux qui sont persécutés"

"En 20 ans, les violences envers les personnes dépositaires de l’autorité, qui étaient autour de 15.500 par an, ont plus que doublé" (Gérard Larcher)

Condamnation de Nicolas Sarkozy : "J'ai été stupéfait de la décision. Ce qui me préoccupe, c'est l'état des relations entre justice, société et politique"(Gérard Larcher)

Gérard Larcher, president du Sénat : "Le remaniement, c'est pas une politique. Ce qui compte, c'est la politique qu'il y aura derrière"

Gérard Larcher, president du Sénat : "Tous ceux qui tentent de bouger les calendriers électoraux, ça se retourne contre les auteurs"

Gérard Larcher : "Ce qui a vraiment manqué dans cette période, c'est le dialogue préalable"

Gérard Larcher : "Nous devons appliquer les valeurs qui sont les nôtres sur le droit d'asile. En même temps, on ne peut pas se retrouver dans une situation comme nous l'avons connue en Syrie. Il faut anticiper, organiser."

«C'est vraiment mon combat la laïcité» assure Gérard Larcher

La grande interview : Gérard Larcher

Gérard Larcher : «L'antisionisme est parfois le paravent de l'antisémitisme»

Gérard Larcher : «Il faut qu'au 101e jour, il passe aux actes»

Gérard Larcher : «Nous sommes dans une bataille culturelle»

Gérard Larcher : «Être à Viry-Châtillon pour le Premier ministre symbolise l'échec du président de la République»

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