Violences du 1er mai: le gouvernement répond aux accusations
  • il y a 6 ans
Dès mardi soir, Édouard Philippe et Gérard Collomb se sont affichés auprès des forces de l’ordre, afin de faire oublier les violences des black blocks lors de la manifestation du 1er mai. Emmanuel Macron a condamné sur Twitter, “avec une absolue fermeté”, les violences qui ont “dévoyé les cortèges du 1er mai”. “Tout sera fait pour que leurs auteurs soient identifiés et tenus responsables de leurs actes”, a-t-il ajouté, alors qu'il se trouvait en déplacement en Australie.
Recommandée