Yannick Jadot: «J’aimerais que Macron fasse autre chose que de vouloir vendre du nucléaire»
  • il y a 6 ans
Interrogée sur BFM TV ce lundi 8 janvier, Valérie Pécresse juge « indécent » de s’interroger, déjà, sur les ambitions personnelles des uns et des autres pour 2022. « C’est indécent (…) Regardez l’état de la droite », déplore la présidente de la région Île-de-France. Pour Valérie Pécresse, l’élection de Laurent Wauquiez à la tête du parti ne doit pas empêcher l’organisation de primaires avant la prochaine échéance présidentielle. « Les primaires elles sont inéluctables si on veut qu’il n’y ait qu’un seul candidat de la droite et du centre face à Emmanuel Macron », juge Valérie Pécresse. « S’il n’y a pas qu’un seul candidat (…), nous ne serons pas qualifiés au second tour », prévient-elle encore.

À gauche, la difficile refondation du parti socialiste est également au cœur des débats. Interrogé sur Julien Dray, qui pourrait vouloir briguer la tête du parti, Bernard Kouchner ironise sur le fait que « dès qu’on parle d’un, il veut briguer la tête du PS ». Pour l’ancien ministre des Affaires étrangères, il faut d’abord renouer avec la signification de la sociale-démocratie. « Il a fallu trente ans pour prononcer ce mot ! On avait peur, c’était une trahison. C’est fini l’union de la gauche, c’est fini les communismes ! » s’amuse Bernard Kouchner.
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