L'immense écrivain Jean d'Ormesson est mort
- il y a 6 ans
Jean d’Ormesson est mort.
Sa famille a annoncé son décés à l’AFP. Sa fille précise, il est décédé d’une crise cardiaque à son domicile de Neuilly dans la nuit de lundi à mardi.
« Il a toujours dit qu'il partirait sans avoir tout dit et c'est aujourd'hui. Il nous laisse de merveilleux livres ». Héloïse d'Ormesson pour l’AFP.
Né le 16 juin 1925 d’une famille d’ambassadeurs et de parlementaires, Jean d’Ormesson est agrégé de philosophie.
Il a reçu le Grand prix du roman de l’Académie française pour son roman La Gloire de l‘Empire, en 1971.
1974 à 1977 il devient directeur général du Figaro. Il contribue à en relancer les ventes et le prestige.
Ecrivain, chroniqueur, philosophe et journaliste, il a traversé le siècle en portant son regard sur le monde à travers une quarantaine d’ouvrages.
Un véritable passionné d’écriture, mais aussi un fervent lecteur, avide de grands auteurs.
Le Monde évoque cette citation : « Tant qu’il y aura des livres, des gens pour en écrire et des gens pour en lire, tout ne sera pas perdu dans ce monde qu’en dépit de ses tristesses et de ses horreurs nous avons tant aimé ».
Sa famille a annoncé son décés à l’AFP. Sa fille précise, il est décédé d’une crise cardiaque à son domicile de Neuilly dans la nuit de lundi à mardi.
« Il a toujours dit qu'il partirait sans avoir tout dit et c'est aujourd'hui. Il nous laisse de merveilleux livres ». Héloïse d'Ormesson pour l’AFP.
Né le 16 juin 1925 d’une famille d’ambassadeurs et de parlementaires, Jean d’Ormesson est agrégé de philosophie.
Il a reçu le Grand prix du roman de l’Académie française pour son roman La Gloire de l‘Empire, en 1971.
1974 à 1977 il devient directeur général du Figaro. Il contribue à en relancer les ventes et le prestige.
Ecrivain, chroniqueur, philosophe et journaliste, il a traversé le siècle en portant son regard sur le monde à travers une quarantaine d’ouvrages.
Un véritable passionné d’écriture, mais aussi un fervent lecteur, avide de grands auteurs.
Le Monde évoque cette citation : « Tant qu’il y aura des livres, des gens pour en écrire et des gens pour en lire, tout ne sera pas perdu dans ce monde qu’en dépit de ses tristesses et de ses horreurs nous avons tant aimé ».