Le président turc Recep Tayyip Erdogan, vivement opposé au référendum d'indépendance au Kurdistan irakien, a déclaré samedi 30 septembre que « la Turquie en paiera le prix ».
De quelle marge de manœuvre dispose actuellement la Turquie pour imposer sa volonté ?
Juan et Arthur Quesnay, chercheur à l'Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, spécialiste du Kurdistan répondent aux questions des auditeurs d'Appels sur l'actualité.