Ligue des champions CAF Tour préliminaire AS Cotontchad 0-1 ASEC Mimosas

  • il y a 7 ans
L’ASEC Mimosas a remporté le match de la peur face à l’AS CotonTchad (0-1), ce dimanche au stade Idriss MAHAMAT Ouya de N’Djamena. Les poulains de coach ASSOUMOU Jimmy en profitent pour faire une bonne entrée en lice dans ce Tour préliminaire de la Ligue des Champions.

Pour son retour au Stade Idriss MAHAMAT Ouya de N’Djamena, 20 ans après, l’ASEC Mimosas n’a pas déçu. Les Mimos ont fait honneur à leur renommée au-delà des frontières ivoiriennes par une prestation bien appréciée des spectateurs. Occupation rationnelle du terrain, discipline tactique, maitrise technique et individuelle, tous les ingrédients étaient réunis pour faire un match plutôt abouti. Les occasions franches de buts manquées aux 16ème (KAMENI Kajo Joseph) ; 19ème, 39ème et 44ème (SOLOMON Okuruket William) sont les seuls points noirs de cette rencontre qui aurait pu s’achever sur une large victoire de 3 ou 4-0 méritée des Jaune et Noir.

Toutefois, il faut se satisfaire d’avoir gagné à l’extérieur et aussi de la bonne entrée en jeu de TRAORE Baba Lamine, à la 67ème mn, à la place d’AKA Serge Arnaud, lui aussi à créditer d’un bon match. Ce choix offensif du coach ASSOUMOU Jimmy est judicieux puisque TRAORE Baba apporte de l’animation et la redynamisation dans le jeu. Cinq minutes plus tard ZAKRI Krahiré Yannick slalome entre les défenseurs tchadiens côté gauche avant de voir sa frappe échouer sur la jambe de Ramess TODEDET, le libéro de l’ASCOT qui détourne le ballon en corner. Sur cette balle de coin, l’attaquant de l’ASEC Mimosas se reprend pour tromper le gardien Younouss MAHAMAT. Le but de ZAKRI Krahiré, à la 72ème sera le seul de la partie. Ni l’ASEC Mimosas, ni l’ASCOT n’en marquera plus, malgré la détermination de l’une de corser l’addition et de l’autre d’obtenir à tout prix le point du match nul.

Dans deux semaines, au stade Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, il faudra achever ce beau travail et valider le ticket des seizièmes de finale.

De notre envoyé spécial à N’Djamena

D. Clément

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