Game of Thrones, saison 7 : les 4 infos à retenir de l’épisode 7
  • il y a 7 ans
1. Littlefinger égorgé
Échec et mat. Le roi des comploteurs, le perfide Petyr « Littlefinger » Baelish, a connu un destin funeste, pris à son propre jeu. Depuis quatre épisodes, le manipulateur tente de créer la discorde au sein du clan Stark. Le seigneur a employé toute son énergie et son ingéniosité à mettre le bazar dans la relation déjà fragile entre Arya et Sansa, notamment en rapportant subtilement à la benjamine la lettre de trahison de sa sœur écrite sous la menace de Cersei. Et, si l’on pensait que la brouille entre les deux frangines allait se terminer dans le sang, tout cela n’était finalement… qu’une feinte (très prévisible). Les jeunes Stark ont vu clair dans le jeu du souverain.

Car ce que Littlefinger n’avait pas prévu, lui qui pourtant est un calculateur hors pair, c’est le retour inopiné de Bran. Et encore moins que ce dernier possède désormais des pouvoirs quasi omniscients qui lui permettent de voir le passé mais aussi tout du présent. Résultat : lors d'un procès dans la froide salle du conseil de Winterfelle, Baelish se retrouve accusé de plusieurs meurtres par Sansa. Rappelez-vous, le gredin avait trahi Ned Stark en l’arrêtant et en plaçant lui-même une dague sous sa gorge. Un geste qui a plongé Westeros dans la guerre. Par ailleurs, le seigneur s’était débarrassé de Lysa, tante des sœurs Stark, en la poussant à travers la porte de la Lune (dans le vide, quoi). Ces actes révélés au grand jour, Littlefinger n’a plus que la pitié comme argument… Mais le comploteur se fait immédiatement trancher la gorge par Arya, exactement de la même manière que Catelyn Stak dans la saison 3.

« Je m’attendais à cette fin, mais je suis heureux d’avoir pu terminer avec une si bonne histoire », confie Aidan Gillen, l’interprète de Baelish, dans une interview dans Entertainment Weekly. « Ce sont des adieux émotionnels pour le personnage. Et c’est aussi une position humiliante pour lui. » En effet, Littlefinger n’avait jamais semblé aussi faible. Quand le Nord se souvient, la mort n'est jamais très loin…