Son père est mort assassiné il y a quelques années mais le jour de son mariage, un homme spécial va l'amener jusqu'à l'autel !
- il y a 7 ans
En 2006, le père de Jeni Stepien a brutalement été tué alors qu'il rentrait du travail et son coeur a été transplanté dans le corps d'un autre homme.
La veille de son mariage à Swissvale en Pennsylvanie, Jeni Stepien a rencontré l’homme qui la mènerait à l’autel pour la première fois. Arthur Thomas, 72 ans, a reçu il y a dix ans le cœur du père de la jeune femme, assassiné alors qu’il travaillait comme chef dans un restaurant. Ce don d’organes a sauvé la vie de Thomas.
« Il y a deux mois environ j’ai reçu une lettre de Jeni. Elle disait : Je suis la fille de la personne dont le cœur est dans votre corps et je me demandais si vous et votre femme Nancy voudriez venir à mon mariage. J’aimerais que vous m’accompagniez à l’autel, » raconte Thomas.
Et il a accepté, touché par cette demande et car il est normal que la mariée ait à ses côtés le cœur de son père.
Le jour de la répétition a été riche en émotions : « On s’est pris dans les bras et j’ai mis ma main sur mon poignet : mon pouls est assez fort, donc je lui ai demandé si elle voulait le sentir. Puis elle a mis sa main sur mon cœur. C’était un très beau moment, très chaleureux, » se souvient Arthur Thomas.
Après l’avoir conduite à l’autel, il a mis la main de la mariée contre son cœur et l’a embrassée avant de la confier à Paul Maenner, son futur époux.
Michael Stepien avait 53 ans et était chef dans un restaurant. Il a été tué il y a 10 ans, alors qu’il rentrait de son travail. L’assaillant était un jeune homme de 16 ans, il lui a tiré une balle à la tête dans une allée, lors d’un vol. Il a été arrêté en 2009 et purge actuellement une peine de prison de 40 ans au minimum. Devant l’inévitable destin de Michael, sa famille a fait le choix de donner ses organes.
Arthur Thomas était au seuil de la mort, son cœur ayant une pathologie qui l’affaiblissait de plus en plus, avant de recevoir le cœur de Michael Stepien. La transplantation s’est bien passée pour ce père de quatre enfants. Les familles sont demeurées en contact pendant dix ans, mais ne s’étaient jamais rencontrées. Maintenant, ils aimeraient se voir plus souvent, en plus de travailler ensemble afin de sensibiliser les gens aux dons d’organes.
La veille de son mariage à Swissvale en Pennsylvanie, Jeni Stepien a rencontré l’homme qui la mènerait à l’autel pour la première fois. Arthur Thomas, 72 ans, a reçu il y a dix ans le cœur du père de la jeune femme, assassiné alors qu’il travaillait comme chef dans un restaurant. Ce don d’organes a sauvé la vie de Thomas.
« Il y a deux mois environ j’ai reçu une lettre de Jeni. Elle disait : Je suis la fille de la personne dont le cœur est dans votre corps et je me demandais si vous et votre femme Nancy voudriez venir à mon mariage. J’aimerais que vous m’accompagniez à l’autel, » raconte Thomas.
Et il a accepté, touché par cette demande et car il est normal que la mariée ait à ses côtés le cœur de son père.
Le jour de la répétition a été riche en émotions : « On s’est pris dans les bras et j’ai mis ma main sur mon poignet : mon pouls est assez fort, donc je lui ai demandé si elle voulait le sentir. Puis elle a mis sa main sur mon cœur. C’était un très beau moment, très chaleureux, » se souvient Arthur Thomas.
Après l’avoir conduite à l’autel, il a mis la main de la mariée contre son cœur et l’a embrassée avant de la confier à Paul Maenner, son futur époux.
Michael Stepien avait 53 ans et était chef dans un restaurant. Il a été tué il y a 10 ans, alors qu’il rentrait de son travail. L’assaillant était un jeune homme de 16 ans, il lui a tiré une balle à la tête dans une allée, lors d’un vol. Il a été arrêté en 2009 et purge actuellement une peine de prison de 40 ans au minimum. Devant l’inévitable destin de Michael, sa famille a fait le choix de donner ses organes.
Arthur Thomas était au seuil de la mort, son cœur ayant une pathologie qui l’affaiblissait de plus en plus, avant de recevoir le cœur de Michael Stepien. La transplantation s’est bien passée pour ce père de quatre enfants. Les familles sont demeurées en contact pendant dix ans, mais ne s’étaient jamais rencontrées. Maintenant, ils aimeraient se voir plus souvent, en plus de travailler ensemble afin de sensibiliser les gens aux dons d’organes.