A l’échelle du bâti : l’exemple de l’école de la biodiversité à Boulogne-Billancourt par Audrey Muratet, écologue, Natureparif
Natureparif, agence régionale pour la nature et la biodiversité en Île-de-France, et le Club Ecoquartiers ont organisé lundi 27 février 2017 à Paris une journée d'exposés, de témoignages, de débats et d'échange sur le thème « Ville, nature et climat ».
Cette journée s’inscrivait dans le double cadre de la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le Climat et de la mobilisation des territoires engagés pour la nature avec l’opération Capitale française de la Biodiversité 2017 et la dynamique renouvelée du label Ecoquartier.
La biodiversité représente une source d’inspiration considérable pour les projets urbains et des solutions opérationnelles dans le cadre du changement climatique, à toutes les échelles, que ce soit en matière d’urbanisme (établissement ou révision des PLU et des SCoT, identification et intégration de la trame verte et bleue, planification écologique), d’aménagement des quartiers (gestion écologique des eaux pluviales, espaces verts écologiques, agriculture urbaine), de l’architecture (végétalisation des toits ou des façades, dispositifs d’accueil de la faune) et enfin, à l’échelle des matériaux de construction (circuits-courts, matériaux bio-sourcés, déconstructibilité et réversibilité). Portée par la volonté politique ou l’émergence de nouveaux labels, la prise en compte de la biodiversité réinterroge les façons de faire mais demande aussi la maitrise de notions d’écologie scientifique et de compétences nouvelles, par le biais d’une formation adaptée.
Cette journée s’inscrivait dans le double cadre de la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le Climat et de la mobilisation des territoires engagés pour la nature avec l’opération Capitale française de la Biodiversité 2017 et la dynamique renouvelée du label Ecoquartier.
La biodiversité représente une source d’inspiration considérable pour les projets urbains et des solutions opérationnelles dans le cadre du changement climatique, à toutes les échelles, que ce soit en matière d’urbanisme (établissement ou révision des PLU et des SCoT, identification et intégration de la trame verte et bleue, planification écologique), d’aménagement des quartiers (gestion écologique des eaux pluviales, espaces verts écologiques, agriculture urbaine), de l’architecture (végétalisation des toits ou des façades, dispositifs d’accueil de la faune) et enfin, à l’échelle des matériaux de construction (circuits-courts, matériaux bio-sourcés, déconstructibilité et réversibilité). Portée par la volonté politique ou l’émergence de nouveaux labels, la prise en compte de la biodiversité réinterroge les façons de faire mais demande aussi la maitrise de notions d’écologie scientifique et de compétences nouvelles, par le biais d’une formation adaptée.
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