Salut les terriens : Stéphane Guillon se paye Penelope Fillon !

  • il y a 7 ans
Le trublion de Thierry Ardisson sur C8 a décidé de s’attaquer à l’affaire des emplois présumés fictifs, qui ébranle actuellement la campagne de François Fillon.

Ce samedi 4 février, Stéphane Guillon a encore frappé par ses répliques assassines. Comme à son habitude, il s’est amusé à dézinguer l’actualité et les politiques, ses victimes préférées. Comme aurait-il pu résister à l’affaire des emplois présumés fictifs qui ébranle la campagne de François Fillon ?

Au début de sa chronique, c’est grimé en Pénélope Guillon que le trublion entre sur le plateau de Salut les terriens . Face à Thierry Ardisson et ses invités, en les personnes de Liane Foly, Nikos Aliagas, le blogueur Jeremstar et Eric Ciotti, il s’échauffe. Coiffé d’une perruque grise et portant des lunettes, le personnage se présente: «Je suis Penelope Guillon, l’assistante télévisuelle de mon mari. Aujourd’hui, Stéphane est un peu en retard. Je suis là pour le représenter, le suppléer, le seconder. Je voudrais me présenter parce qu’il y a eu des rumeurs d’emplois fictifs comme quoi, Monsieur Ardisson me verse un salaire pour rien faire, bullshit!»

« Je voulais dire que je suis très investie dans le travail de Stéphane. C’est moi qui le conseille, qui l’encourage et deux fois par an, quand Stéphane n’a plus de papier pour écrire, je vais chez Office Dépôt. J’achète le rame de papier », continue-t-il, visiblement encouragé par l’hilarité du public.

Après les premières minutes de son sketch, Penelope laisse place à Stéphane Guillon. Mais le chroniqueur ne compte pas en rester là et n’hésite à en remettre une couche: «Je tiens à préciser que depuis ma première chronique dans Salut les terriens le 4 novembre 2006, Penelope Guillon a toujours été à mes côtés avec discrétion et avec dévouement. Pour la plus grande transparence, je tiens aussi à dire que ma fille Violette âgée de 10 ans, travaille également à mes côtés et qu’elle est rémunérée».

Et comme pour achever sa victime du jour, il assène : « À travers Penelope, on cherche à m’abattre, le coup vient sans doute du Grand Journal , qui comme chacun le sait, est en perte de vitesse. Jamais dans l’histoire du groupe Canal+, un chroniqueur n’a subi une telle violence. Si on veut m’attaquer, qu’on m’attaque droit dans les yeux, mais qu’on laisse Penelope Guillon tranquille ». Suivront ensuite ses habituelles imitations d’autres personnalités politiques, d’Alain Juppé à Dominique Strauss Kahn en passant par Nicolas Sarkozy.

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