Le Parlement britannique discute le lancement de la procédure du Brexit
- il y a 7 ans
Le Parlement britannique commence les débats sur le projet de loi autorisant la Première ministre Theresa May a lancer la procédure de divorce avec l’Union Européenne.
Les députés conservateurs défendent un Brexit dur alors que certains parlementaires ont déposé plusieurs amendements dont l’un vise à garantir la future appartenance du Royaume-Uni au sein du marché commun.
David Davis, secrétaire d’Etat à la sortie de l’Union Européenne du Royaume-Uni : “Ce n’est pas un projet de loi pour savoir si le Royaume-Uni doit ou non quitter l’UE ou comment il doit le faire. Soyons clairs : il n’y aura aucune tentative de rester au sein de l’Union Européenne, aucune tentative de rejoindre l’Union par une voie détournée, et pas de second referendum.”
Stephen Gethins, député du Parti national écossais : “Partager notre souveraineté et travailler ensemble est une bonne chose. Approuver cette loi en tournant le dos à notre amendement irait à l’encontre des progrès réalisés et ne respecterait pas les transferts de responsabilités.”
Les amendements ont peu de chance d‘être adoptés, le parti conservateur disposant d’une courte majorité à la chambre basse.
Le chef des Travaillistes, Jeremy Corbyn, a quant à lui menacé de représailles les députés de son parti qui ne voteraient pas en faveur du texte.
Les députés conservateurs défendent un Brexit dur alors que certains parlementaires ont déposé plusieurs amendements dont l’un vise à garantir la future appartenance du Royaume-Uni au sein du marché commun.
David Davis, secrétaire d’Etat à la sortie de l’Union Européenne du Royaume-Uni : “Ce n’est pas un projet de loi pour savoir si le Royaume-Uni doit ou non quitter l’UE ou comment il doit le faire. Soyons clairs : il n’y aura aucune tentative de rester au sein de l’Union Européenne, aucune tentative de rejoindre l’Union par une voie détournée, et pas de second referendum.”
Stephen Gethins, député du Parti national écossais : “Partager notre souveraineté et travailler ensemble est une bonne chose. Approuver cette loi en tournant le dos à notre amendement irait à l’encontre des progrès réalisés et ne respecterait pas les transferts de responsabilités.”
Les amendements ont peu de chance d‘être adoptés, le parti conservateur disposant d’une courte majorité à la chambre basse.
Le chef des Travaillistes, Jeremy Corbyn, a quant à lui menacé de représailles les députés de son parti qui ne voteraient pas en faveur du texte.